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Contact Immédiat

Alors que je repartais en direction du hall, j'aperçus le garde du corps du coin de l’œil, et je vis quelque chose d’extraordinaire. Son fils, que j’avais aperçu sur le ponton de pêche, avait un double. C’était bien ce que j’avais vu. Je dus me frotter les deux yeux pour vérifier si j'avais la vue nette. Je regardai encore une fois, et c'était bien cela. Il y avait des jumeaux, deux garçons, qui ne m’avaient pas vu, mais je les repérai au moment où j’étais sur le point de partir.

Margret me salua : « Merci d'être venu ici pour interviewer mon mari. »

« C'était très agréable », et je leur souhaitai beaucoup de bonheur. Je lui serrai la main, puis passai la double porte. Alors que je m'avançais vers la voiture, le garde du corps me lança un regard perçant en me faisant signe. Je fis signe à mon tour, je grimpai dans la voiture et me dirigeai vers la sortie ... Le portail s’ouvrit à nouveau lentement, et je mis en route pour retourner au Holiday Inn Express.

Je n'arrêtais pas de penser : « Quel voyage...trois jours, qui m’ont semblé durer une semaine. »

Il était environ 15 h 30 quand je me suis dit que j’allais devoir faire mes bagages et partir directement pour l'aéroport. Il m’était arrivé des choses bizarres sur le parking de l’hôtel, avec ces gens qui m’avaient observé. Je ne voulais pas risquer de perdre mon matériel.

1 Chapitre 5

J’étais dans l'avion en direction de Hampton Roads, Virginie. Je venais de quitter le New Hampshire. Le vol sembla durer seulement quelques secondes, et j’étais de retour chez moi, entre l'aéroport et Virginia Beach. J'appelai Sundara, pour lui dire que j'étais en route pour la maison. J’étais sur l'autoroute en direction de la plage.

Elle demanda : « Ça s’est bien passé pour toi pendant le voyage ? »

Je répondis, prudemment, et avec une voix assurée, « Oui... j'ai beaucoup de choses à te raconter, chérie. »

Quand je sentis enfin les odeurs de l’océan, je sus que je n'étais pas loin de chez moi. Je me garai sur le parking de la copropriété. Je pris mon matériel, et me dirigeai vers mon appartement. Ma femme était là, elle m’attendait. Lorsque je saisis la poignée de la porte, elle s'ouvrit instantanément sur une étreinte de la part de Sundara. Cela avait été l'une des premières raisons, d’ailleurs, pour lesquelles je l'avais épousée.

Je vis alors ma fille Laura s'élancer vers moi, et s'agripper à ma jambe, pour me serrer ensuite contre elle. Je les embrassai toutes les deux, et leur dis combien elles m'avaient manqué.

Je remis à ma fille un tee-shirt et un bonbon au sel de mer du New Hampshire. Elle était heureuse. Je décidai de m'asseoir quelques instants, un peu épuisé par le voyage dont j’avais rêvé. Tout d'un coup le téléphone sonna, et je réalisai qu’il était autour de 20 h30. C’était ma rédactrice en chef, qui m’appelait du journal.

« Vous êtes revenu dans les temps » dit Amelia.

« Oui Amelia. Nous nous reparlerons bientôt par téléphone, quand mes vacances seront terminées. Je m’assurerai d'envoyer le reportage. »

« D’accord, envoyez-moi un SMS, ou appelez-moi si vous avez besoin de moi. On se voit dans quelques jours. »

« D'accord ». Et je raccrochai mon smartphone.

Je pensais « Je suis heureux d'être à la maison, simplement. » Sundara avait préparé un excellent repas, avec des brocolis, un pain de viande et de la purée de pommes de terre, avec un peu de thé Zum-Zea. Ce fut un excellent dîner... puis la nuit tomba rapidement.

Je réussis à me reposer, parce que nous allions nous rendre sur l’île de Chinconteague, qui se trouve en Virginie, pour y passer nos vacances en famille. Nous allions y passer quelques jours pour nous détendre, faire du cheval sur la plage et ne rien faire d'autre. L'île n'est pas trop éloignée de l’endroit où nous nous trouvons. Je tombai sur une émission télévisée qui parlait de l'île sur la

chaîne Go Flavor Go TV, au moment où ma femme et moi faisions nos sacs. La porte de notre chambre était fermée, aussi je lui demandai à voix basse, « Tu as déjà entendu parler de la Galaxie du Triangle ? »

Elle se figea, laissa tomber la tasse de thé par terre, et me dit, d’une voix étonnamment basse :

« Où as-tu entendu ces mots-là ? »

C'est une longue histoire, chérie. » Je décidai d'arrêter de parler, parce que ma femme semblait nerveuse après que j'ai eu mentionné la Galaxie du Triangle. J'essayai de changer rapidement de sujet, et de parler de nos vacances, mais il était trop tard. Son esprit s'était focalisé sur ces deux mots que j'avais prononcés.

« Marc. »

« Oui, » répondis-je.

Elle demanda à nouveau, tel un détective : « Où as-tu entendu parler de cela ? »

« Écoute, chérie, partons en vacances. Je te promets de t’en dire plus pendant notre voyage. » « Ok Marc, c'est d'accord pour le moment, mais il va falloir que tu me le dises bientôt, chéri, d'accord ? »

Je répondis en levant les deux pouces.

Nous nous reposâmes, mais ma femme n'arrivait pas à dormir. Et le matin arriva sans même que nous nous en rendîmes compte. Tout le monde semblait heureux à propos de nos vacances. Ma fille était heureuse de s'en aller. Elle saisit sa valise, nous nous dirigeâmes vers la Jeep et plaçâmes nos affaires sur la galerie de toit. J'embrassai ma femme, nous étions prêts à partir. Nous avions besoin de ce voyage. J'allais pouvoir me détendre, sans trop travailler. Cette fois, j'étais avec ma famille . . . Sur l’île de Chincoteague, on peut faire du vélo, du bateau, on peut aller à la pêche, et il y a aussi un gros marché de producteurs. Pour ma fille il y a des arcades et des putts de golf. C'était l'une des nombreuses raisons pour lesquelles nous voulions venir ici en vacances.

Il y a aussi quelque chose que peu de gens savent. Il y a un centre de vols là-bas. Le Wallops Flight Centre de la NASA, d’où sont lancés les projets spatiaux, se situe sur la Côte est de la Virginie. J'espérais pouvoir assister à un événement pendant nos vacances. Je savais que nous étions ici pour le repos et la détente.

Ma femme avait toujours le regard dans le vide suite à notre conversation d’hier soir. Elle était présente physiquement, mais pas mentalement. Elle ne cessait de me regarder. Puis elle se détournait, et je me contentais de sourire et de mettre de la musique pour essayer de créer une bonne ambiance. Laura, à l’arrière, était si heureuse de ce voyage, qu’elle dansait assise dans la voiture, au fur et à mesure que nous approchions de l'hôtel où nous allions séjourner. Je n'allumai le chauffage à aucun moment. Il faisait suffisamment chaud à l'intérieur de la voiture pour nous trois... Je me disais que j'aimais profondément ma femme.

Un voyage en voiture de 16 km, avec le plein de carburant fait, et de merveilleux paysages. Nous nous enregistrâmes à notre arrivée, puis nous allâmes directement à la plage. Regarder et sentir l'océan…une septième merveille. Mes pensées dérivèrent à nouveau vers le New Hampshire, M. Brooks, et ce qu'il avait vu sur la chaîne du satellite. Et je sus, à ce moment-là, que ma vie était sur le point de changer. Lorsque l’on est journaliste, on écrit et on signale de nombreuses histoires, à la fois bonnes et mauvaises, intrigantes. Mais celle-ci était différente.

1 Chapitre 6

Il s'agissait de secrets sur ma propre famille, que j’avais conservés cachés, et d’événements à cause desquels toutes sortes de forces pouvaient s’exercer, si je n’en parlais pas aux bonnes personnes. Votre vie est sur le point de changer, M. Marc Dazet.

Elles avaient tellement d'énergie ces deux-là, ma femme et ma fille. Nous fîmes du cheval sur la plage. J'avais oublié à quel point ces animaux pouvaient être rapides, la puissance qu’ils ont en eux, et leur humilité. Nous aimons tous les trois les chevaux. Je les aurais bien ramenés avec nous à Virginia Beach.

Entre deux balades sur l'île, je réussis à taper une partie du reportage. Alors que j'écrivais au sujet de Brent Brooks, Seabrook, New Hampshire, je remarquai que j’étais resté stupéfait face à la dernière déclaration qu'il avait faite au sujet des balises de navigation océaniques. Je regardais par la fenêtre de notre chambre d’hôtel, qui donnait sur l’océan, et mes pensées se mirent à dériver…« Qu'est-ce qui se passe, là ? »

Je me souviens d'avoir pensé à l’un des reporters au journal, qui avait écrit un article au sujet de l’avenir de l'océan, une nouvelle source d'énergie pour la terre. Je me souviens de l'en-tête « Turbine à énergie marine ». Il avait ensuite expliqué que cela aiderait à apporter de l'énergie aux villes. Et comment d'autres travaillaient à protéger l'océan et la turbine, de dégâts prévus par les ouragans. « L’énergie bleue ». Marc regardait les vagues en se disant, « Il se passe beaucoup de choses sous l'eau. »

Marc sortit de son rêve éveillé, et se reconcentra sur l’histoire qu’il était sur le point d'écrire.

Je décidai d'appeler M. Brooks. Sur mon bloc-notes, je notai quelques questions qu’il me paraissait important de lui poser. Puis, une fois que je me sentis prêt, je composai le numéro. Le téléphone sonna plusieurs fois, et une voix masculine plus jeune se fit entendre. « Bonjour, qui est à l’appareil ? » On aurait cru entendre la voix de Brent, plus jeune, au téléphone.

« Bonjour, oui, je suis Marc Dazet, du Virginia Pilot. Comment allez-vous ? Puis-je parler avec votre père ? »

« Un instant, je vais le chercher. » Il y eut une pause, puis Brent décrocha un autre appareil depuis une autre pièce, et il remercia son fils, « Bonjour Marc, c’est bien vous ? »

Je répondis en entendant la voix plus âgée de Brent au bout du fil. « Bonjour, comment allez-vous ? Je voulais vous poser quelques questions supplémentaires, si vous le permettez, au sujet de la première partie de l'entretien que nous avons eu ? »

Brent comprit tout de suite, lorsque je prononçai « la première partie » de l'entrevue. Je poursuivis : « Vous avez mentionné quelques motifs de léguer des parts de la Loterie aux générations futures. Si je comprends bien, cela est lié au Free State Project. Était-ce l'une des principales raisons ? »

Et je m’arrêtai pour prendre le temps d'écouter ce qu'il allait dire à travers le téléphone. Et il répondit : « Oui, et avec ce que j'ai vu sur mon téléviseur, j'ai décidé à ce moment-là, que je ferais mieux de m’occuper de ma famille aujourd’hui et à l’avenir. J’ai deux jumeaux auxquels je dois penser. »

Je dis à Brent que je les avais vus chez eux, lorsque je m’y étais rendu lors de ma précédente visite.

Brent continua : « Oui, ils s'appellent Jarid et Jarvis, ils ont seulement quinze ans. J'ai pensé qu'à l'avenir, ils auront besoin de toute l'aide que je pourrai leur apporter, grâce aux fonds que je leur transmettrai, ainsi qu’aux trois générations qui viendront après. Cela pourrait aider à faire en sorte que le nom de notre famille reste enraciné, et quelque peu préparé. » J'étais assis dans la chambre d'hôtel, et je réfléchissais. Brent devait savoir quelque chose au sujet de l'avenir, que la plupart d’entre nous ne savions pas. Mon stylo écrivait « Il en sait davantage que quiconque. » Je n'arrêtais pas de réfléchir pendant qu’il écrivait.

D'autres propos arrivèrent jusqu’à mes oreilles depuis le New Hampshire. « Je sais que je donne quelque chose que je peux utiliser maintenant. J'ai pensé à récupérer le montant forfaitaire du gain de la Loterie, et à mettre en place des comptes bancaires secrets, qui ne seraient libérés qu’au bout d’un certain nombre d'années. C'est mon oncle qui m'avait conseillé de faire comme cela. Nous avons beaucoup d’argent à disposition pour notre famille, maintenant. J’ai divisé les fonds de cinq manières. »

Soudain, j'entendis un son électronique à la porte de l'hôtel, le mouvement de la porte, et je reconnus tout de suite le rire. Avec le mouvement que beaucoup ne voient pas au moment où ils passent la porte de la chambre d'hôtel. Je coupai court à ma conversation avec M. Brooks, pour ne pas trop avoir à révéler, à ma propre famille, le sujet de l’histoire que j'étais sur le point de coucher sur le papier.

Je dis : « D'accord, Monsieur Brooks, il faut que nous nous reparlions bientôt. »

Il répondit « Oui Marc, c'est vrai. Mes salutations à votre famille ». Et je lui souhaitai la pareille.

Ma femme se figea un instant, alors qu’elle ouvrait la porte, me regardant avec un air interrogateur. « Tout va bien ? »

« Oui, tout va bien, chérie. » Je pris mon bloc-notes, et passai en revue rapidement mes notes pour vérifier ce que j'avais écrit, et m'assurer que toutes les corrections, ainsi que les faits étaient corrects. Je me disais, « Il ne faut pas que j’oublie que je suis en vacances ». Je pensais à plein de choses à la fois. Et Sundara le sut instantanément.

Il était temps de dîner, aussi nous décidâmes d'essayer un restaurant de fruits de mer local nommé Captain Zack’s Seafood. Laura vint dans la chambre pour nous montrer sa collection de coquillages.

Je remarquai que Laura s'était fait une petite coupure sur la main, avec les coquillages qu’elle avait ramassés. Je le lui fis remarquer. Et en moins d’une seconde, la coupure avait disparu. Je regardai en l'air, le regard vide. Alors que nous étions en train de nous préparer, je regardai par hasard mon téléphone, qui se trouvait sur le bureau dans la chambre, et j'entendis un bip. C'était un message entrant. J’allai vers le bureau pour voir qui c'était. Le message disait : « Comment l'histoire se présente-t-elle ? De la part de vous savez qui, Amelia. » Je répondis par message écrit interposé, « Ça se passe bien, je serai prêt à rendre l’histoire demain. Je l'enverrai par e-mail. »

Je regardai ma messagerie pour vérifier si j’avais reçu d'autres messages. Cinq minutes s’écoulèrent pendant lesquelles il n’y eut rien d’autre, aussi je replaçai le téléphone sur le bureau.

Alors que je m’apprêtais à sortir, j'entendis à nouveau un autre bip, alors je fis un retour en diagonale vers le téléphone. Et là, je lus...« Il y avait un homme ici qui vous cherchait, Marc. »

D’abord, le premier mot qui me vint à l'esprit ce fut « Pourquoi ? »

Au lieu de cela, je répondis, « Ah bon ? » Le message suivant était « Il n’était pas bavard.

On aurait dit, à certains moments, quand je lui parlais, que je ne savais plus qui j’étais. Cela m'a paru bizarre. » Amelia continua : « Il a laissé une carte de visite pour vous. »

En relisant encore une fois les messages, je me demandai aussi où j'avais rangé mon fichier « Qui, quoi et quand. » Je répondis « Merci pour votre message. Il se passe beaucoup de choses, Amelia… Je vous rendrai l'histoire demain matin. Au revoir. » Puis je remarquai les deux dernières lettres « AM ». (Avant midi)

Nous passâmes un très bon moment au restaurant. J’avais remarqué que dans les restaurants où l’on mange des fruits de mer, le protocole disparaît. C'est génial de voir les autres redevenir eux-mêmes lorsqu’il y a des fruits de mer, notamment ceux qui aiment les pattes de crabe des neiges, ou les pattes de crabe royal. Même les pattes de crabe d'Alaska. Nous passâmes vraiment un bon moment. Ma femme et ma fille se rangent dans la catégorie des débutants. Quand il s'agit de fruits de mer, je suis toujours le maître. Pour partager mes connaissances sur la façon de manger toute une variété de nourriture qui nous vient aujourd’hui de la mer. Ma femme et ma fille me regardaient comme si j'étais dingue, à expliquer ce qu'est une écrevisse, et la façon dont on les mange. C'est stressant, et amusant en même temps. Nous aimions tous les trois ce que l'océan a à nous offrir.

Nous retournâmes à l'hôtel, et le sommeil me tomba dessus tout à coup. Ma femme et ma fille, ces deux-là, étaient encore debout, ricanant après avoir passé une bonne soirée et parlé de la variété des fruits de mer du Captain Zack.

Je me réveillai vers huit heures et je décidai de rédiger l’article…

J'écrivis d’abord le titre : « Le New Hampshire fait avancer les choses »

Il me fallut environ deux heures. Je vérifiai mon orthographe, et le remis à ma femme pour qu’elle le relise. Elle l'examina attentivement, et dit en me regardant avec étonnement : « Ah bon, il va faire ça ? »

« Oui, il a décidé de le faire pour sa famille. »

Elle secoua la tête, et me serra immédiatement contre elle. Elle dit : « C'est pour cette raison que j'aime la race humaine, et que je suis venue ici. » Je regardai en arrière en secouant la tête, pour comprendre ce qu'elle venait de dire. Elle poursuivit, en disant qu’elle aurait aimé que la Virginie ait un Free State Project.

« Peut-être un jour, » dis-je. « Cela nous donne de l’espoir. »

J'envoyai un e-mail à Amelia, et cliquai sur le bouton « Envoi » de l’ordinateur portable. J'étais content que ce soit fait. J'aimerais pouvoir écrire davantage de choses sur l'État du nord-est.

Ma femme et ma fille voulaient marcher sur la plage juste avant le coucher du soleil, pour prendre l'air frais de l’océan, comme nous le faisons souvent quand nous sommes près de la mer.

Sundara dit qu'elle était fière de moi car j’avais écrit une belle histoire. Je pensais à Laura, et à l'avenir. Nous retournâmes dans la chambre, puis nous commençâmes à faire nos bagages, et à nous préparer pour retourner à Virginia Beach le lendemain matin.

Je pliais mes vêtements pour ma valise. Sundara s’approcha de moi, chuchotant à voix basse dans son dialecte natif. « Marc, j'ai quelque chose à te dire, qui est en moi, parce que tu es mon mari. » Elle ajouta : « La Galaxie du Triangle a été notre ennemi pendant de nombreuses caducies ».

Marc savait que ce mot signifiait « années ».

Ceux qui viennent de là-bas sont intelligents, et possèdent d’habiles pouvoirs télépathiques. Ils peuvent recevoir mentalement les émotions d'autres esprits, les contrer et les restreindre, comprendre toutes les langues, et permettre aux autres esprits de se parler et de se montrer ce qu'ils pensent. Pendant tout le temps qu’elle parlait, j’avais le regard dans le vague, je pensais à tout à la fois en même temps et mes pensées s'embrumaient sans cesse. Puis elle cessa de parler, et elle sortit de la chambre d’hôtel, comme pour reprendre son souffle après avoir dit quelque chose que personne ne savait.

J’étais seul dans la chambre…et je ne pouvais m’empêcher de penser aux cartes que l’on avait remises à Amelia.

Elles venaient peut-être de ces gens-là. Ou bien, quand j'avais été suivi, dans le New Hampshire, cela ressemblait à la même chose. Seul le temps permettrait de dire la vérité.

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