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Les muscles de ses bras fléchissaient tandis qu'il se maintenait au-dessus d'elle, faisant l'amour à ses lèvres et plus. Ses mains étaient impatientes tandis qu'elles essayaient de se débarrasser des vêtements de Kyoko. En quelques petites minutes, elle était sous lui, complètement nue. Elle ne s'était pas débattue lorsqu'il lui avait enlevé ses vêtements. Pourquoi devrait-elle ? C'était un rêve... n'est-ce pas ?
Shinbe cessa de respirer tandis qu'il la fixait tout comme elle était apparue dans son rêve il y a quelques minutes. Elle était sa prêtresse... son secret... son amour. Il glissa son corps contre le sien, aimant la sensation de sa peau soyeuse, aiguisant sa douleur et son besoin de la posséder, de lui faire l'amour.
Ãa doit être un rêve, essaya-t-il de se convaincre.
Il plongea sa tête pour se blottir contre son cou, léchant et embrassant sa peau, la goûtant gentiment et énergiquement. Il lui montrait combien il l'aimait tandis qu'il descendait le long de son corps. Cela serait la seule fois où il la verrait et la goûterait entièrement. Une forte chaleur le traversa tandis qu'elle se cambrait contre lui, gémissant lorsqu'il posa sa bouche sur sa poitrine, la léchant avec sa langue, donnant vie à son corps.
Ses souhaits se réalisaient tandis que Shinbe amenait ses baisers vers le ventre ferme de Kyoko, et elle frémissait en dessous de lui. Ses muscles firent un bond lorsqu'elle le serra contre elle, essayant de se rapprocher. Shinbe ne pouvait pas être plus proche du paradis, avec son essence l'entourant. Centimètre par centimètre, il rampait de nouveau vers le haut, sur elle.
S'installant entre ses jambes, il frissonna de désir lorsque la chaleur de son ouverture réchauffa la tête palpitante de sa virilité gonflée. Il voulait qu'elle le regardât tandis qu'il la pénétrait, même si c'était un rêve. Son corps se durcissait, se serrant autour du sien.
Ouvre tes yeux, chuchota-t-il.
Sa voix était ensorcelante, une séduction délibérée, et dès qu'elle ouvrit ses merveilleux yeux émeraudes, il se poussa en avant, s'enterrant rapidement au fond de sa chaleur, voulant lui épargner la douleur de la première fois. Un cri angoissé s'échappa de sa gorge lorsqu'il sentit son sang lui céder la place.
Son étroitesse le saisissait fortement dans sa chaleur soyeuse, l'attirant encore plus profondément. Sans son sang-froid obstiné, il aurait sauté au plafond à ce moment-là . Il serra les dents pour s'efforcer de rester tranquille, respirant fortement tandis qu'il l'observait bouger sa tête de gauche à droite, ses lèvres s'écartant sans bruit. Rapidement, il revendiqua ses lèvres avant que le cri ait pu lui échapper.
Lorsqu'il sentit qu'elle se calmait, il libéra ses lèvres. Donnant le premier à -coup, lent mais puissant et profond, il fut récompensé par les lèvres de Kyoko venant à la rencontre des siennes tandis que sa propre passion commençait à flamber. Il inhalait ses gémissements d'extase, les savourant comme les souvenirs précieux qu'ils deviendraient. Cédant à la sensation de son corps enveloppé autour du sien, il cessa de se contrôler. Il voulait lui faire l'amour de tout son être, en ne retenant rien.
Joignant ses doigts aux siens, il tira ses mains au-dessus de sa tête et les maintint contre la couverture douce. Shinbe se releva au-dessus d'elle pour voir ses expressions passionnés tandis qu'il prenait un rythme qui les poussait rapidement à bout. Des à -coups profonds et rapides se transformaient en des à -coups puissants et lents, avant de faire une pause pour se poser contre elle, puis il se retira rapidement et la pénétra brusquement une nouvelle fois.
Shinbe pouvait sentir les nombreuses fois où elle atteignait l'orgasme tandis que les spasmes tenaillaient son corps. Il pouvait les ressentir tandis qu'elle se resserrait encore plus autour de lui. Tout son corps brillait au clair de lune car il retenait sa propre libération. Cela le tuait, puis finalement, il ne pouvait plus le supporter, et sachant qu'elle atteignait de nouveau l'orgasme, il prit un rythme qui les ébranla tous les deux.
Les poussant tous les deux à bout, il donna un dernier à -coup, aussi profond que possible, et s'immobilisa, jetant sa tête en arrière. Le bruit qui lui était arraché n'était ni humain, ni immortel. C'était de la douleur et du plaisir, entre les deux, tandis que sa semence se déversait dans son corps... profonde, chaude, et en rythme avec ses battements de cÅur.
Une fois le monde de nouveau stable, Shinbe regarda Kyoko au moment où un sourire passionné se dessinait sur ses lèvres gonflées par le baiser, puis elle ferma lentement les yeux.
Sentant déjà son cÅur se briser à cause de ce qu'il avait fait, Shinbe approcha ses lèvres des siennes et leur chuchota la vérité :
Je t'aime.
*****
Plus tard, dans la nuit, Shinbe se réveilla et trouva Kyoko habillée mais endormie près de lui, sur la couverture posée sur l'herbe chatoyante.
Ne voulant pas déjà la réveiller et faire face à ses péchés, il porta silencieusement la prêtresse endormie, ainsi que le sac qu'elle transportait, et l'emmena dans la cabane où le reste du groupe dormait toujours.
Après l'avoir placée à son endroit habituel, entre le mur et Suki, il glissa lentement vers le mur opposé, ramenant ses genoux vers son torse, plus heureux et effrayé que jamais. S'il devait mourir dans les heures suivantes, il mourrait heureux.
Shinbe ferma les yeux en se demandant ce qui serait le pire, Kyoko se souvenant, ou Kyoko ne se souvenant pas. Il savait qu'il n'aimerait jamais personne d'autre, puisqu'il fallait avoir un cÅur pour aimer, et il n'en avait pas. Il l'avait déjà donné. Kyoko portait son cÅur depuis leur première rencontre.
S'il ne se faisait pas tuer par les dagues de Toya au petit matin, il savait qu'il resterait à sa place, l'aimant secrètement, et espérant qu'elle le remarquerait.
Chapitre 2 « Peurs du matin »
Shinbe se réveilla en sursaut en entendant le cri de Toya. Tous les muscles de son corps se recroquevillaient à l'idée de se transformer en kebab sous les dagues jumelles de Toya. Une fascination morbide lui faisait lentement ouvrir ses yeux d'améthyste pour voir ce qui se passait.
Tais-toi !
Kyoko cria, levant sa main et jetant le sort de domptage, puis saisit instantanément sa tête dans la panique tandis que la douleur montait en flèche dans son cerveau.
Pourquoi t'as fait ça ? Grogna Toya tandis qu'il la fixait furieusement en étant sur le sol.
Ouille.
Sa bouche formait un « o » tandis qu'elle se recroquevillait de nouveau.
Chut, ajouta-t-elle en espérant qu'il comprendrait le message.
Shinbe soupira, sachant que Kyoko avait probablement la gueule de bois, et Toya n'arrangeait pas les choses en étant aussi bruyant. Il était content qu'elle ait pu le paralyser, même s'il trouvait cela étrange de voir que le sort de domptage ne fonctionnait que sur Toya. Parfois, rien que le fait de pouvoir jeter un sort à Toya le rendait jaloux. Toya était le seul à pouvoir faire des bonds dans le temps, la suivant dans son monde, et cela n'aidait pas non plus. Dans l'esprit de Shinbe, cela ne faisait que les rapprocher.
Il se demandait silencieusement si elle se souvenait de la nuit dernière, étant donné qu'elle était ivre. Shinbe ferma les yeux, sentant ses boyaux se tordre lorsque Toya s'énerva sur Kyoko pour avoir utiliser ce sort. Jusque là , tout semblait normal. Il réfléchit de nouveau, essayant de se souvenir de tout. C'était étrange car même pour lui, la nuit dernière avait l'air d'être un rêve.
Il se rappelait qu'avant de la ramener dans la cabane, il avait utilisé un sort de protection pour dissimuler l'odeur de leurs ébats, si elle était perceptible. Il ouvrit de nouveau les yeux, sachant que se cacher ne l'aiderait pas si elle se souvenait des événements. Puis, Shinbe cessa de respirer en voyant Toya se pencher vers Kyoko, la reniflant.
Toya plissa son nez.
Kyoko, est-ce que tu sens l'alcool ?
Il s'assit en face d'elle lorsqu'il entendit son soupir douloureux mais coupable. Les mains de Kyoko couvraient toujours son visage.
Bon sang, Kyoko ? Tu étais ivre ?
Toya ne pouvait pas s'empêcher d'élever la voix, et il referma la bouche lorsqu'elle baissa brusquement ses mains et lui lança un regard meurtrier.
Toya, je suis désolée. Mais si tu ne me laisses pas tranquille immédiatement, je vais faire quelque chose qu'on va tous les deux regretter.
Kyoko plissa les yeux. Elle leva sa main comme pour lui jeter le sort de domptage une nouvelle fois, ce qui fit rapidement reculer et grogner Toya.
Shinbe ne pouvait pas s'empêcher de sourire d'un air narquois tandis que Kyoko remettait Toya à sa place. Il cacha son sourire derrière une petite toux. Parfois, ces deux-là pouvaient être si... divertissants. Une autre toux attira son attention. Se penchant pour voir derrière Toya, il pouvait voir Kamui qui avait aussi du mal à cacher son rire.
Bon sang, elle peut être très, très effrayante, parfois, se dit Toya tout en mettant ses mains dans ses manches amples, puis tourna la tête sur le côté.
Bien, tu me le diras plus tard !
Il la regarda du coin de ses yeux dorés, sachant qu'il avait dit cela un peu trop fort. Se levant d'un bond, il sortit par la porte, ne voulant pas rester dans le coin si elle essayait de le « dompter » une nouvelle fois. C'était une bonne chose que ce sort stupide n'ait pas duré longtemps, sinon il aurait été blessé.
Suki n'avait pas dit un mot tandis qu'elle observait Kyoko d'un air interrogateur. Lorsque Toya s'en alla enfin, elle se dirigea doucement vers Kyoko. Se penchant, elle chuchota :
Kyoko, je vais te chercher de l'eau fraîche, OK ? Allonge-toi et je reviens.
Elle posa doucement sa main sur l'épaule de Kyoko en secouant la tête, se demandant comment l'innocente Kyoko avait pu être ivre. Décidant qu'elle attendrait avant de demander, elle se retourna et quitta la cabane pour chercher de l'eau à son amie.
Kamui se devait de saisir l'occasion et sourit de toutes ses dents.
Kyoko, je ne peux pas croire que tu sois allée boire sans m'inviter.
Son sourire s'élargit encore plus lorsque Kyoko le regarda de travers. Sentant Kaen qui l'attendait dehors, il quitta la cabane pour rejoindre son ami enflammé.
Kyoko grogna tandis que son cÅur cognait dans sa poitrine. Elle aurait dû demander de l'aide à Suki pour regarder dans son sac à dos. Elle savait qu'elle avait quelque chose contre la douleur dedans, et si elle pouvait le trouver, elle irait sûrement mieux. Elle vit une ombre la traverser et se tourna pour voir le regard d'améthyste de Shinbe posé sur elle.
Soudain, des images de lui sur elle, faisant l'amour à ses lèvres et son corps traversèrent son esprit. C'était un rêve... n'est-ce pas ? Un rêve ivre, ouais... elle se rappelait maintenant. Gueule de bois ou pas, elle ne pouvait pas enlever ces images de sa tête et sentit ses joues devenir chaudes et rouges. Elle était heureuse car lire dans les pensées ne faisait pas partie de ses pouvoirs de gardien, contrairement à Kyou.
Kyoko, est-ce que ça va ? Est-ce que je peux faire quelque chose pour toi ?
Shinbe se sentait coupable en sachant qu'elle pensait que c'était un rêve, comme elle l'avait dit la nuit dernière. Mais il devait savoir si elle se souvenait de quelque chose. Au vue de la rougeur de son visage, il se disait que c'était peut-être le cas. Lorsqu'elle parla enfin, il soupira de soulagement, et de tristesse. Au fond, il avait espéré qu'elle se souviendrait, et qu'elle mettrait un terme à tout cela.
Kyoko lui sourit faiblement. Fichus rêves... Pourquoi avait-elle rêvé de lui, et pas d'un autre ? Comme si cela ne suffisait pas de rêver de lui de cette façon, elle avait rêvé de lui et s'était réveillée si proche de lui qu'elle pouvait sentir la chaleur de son corps.
Elle s'allongea soudainement, loin de cette proximité, ses yeux émeraudes grands ouverts. Il y avait quelque chose dans la manière dont il la regardait, comme s'il scrutait son âme. Ou qu'il se préparait à le peloter... avec Shinbe, personne ne pouvait être sûr. Mentalement, elle secoua la tête. « Non, ne t'aventure pas là -dedans, Kyoko, ma petite, pas maintenant ! Réfléchis, c'était quoi la question ? »
Euh... Shinbe, est-ce que tu pourrais regarder dans mon sac et trouver la boîte dans laquelle je garde mes médicaments ?
Elle reposa ses mains sur sa tête, essayant d'étouffer le bruit. « Note à moi-même... ne plus jamais, jamais aller à une fête avec Tasuki et ses copains, plus jamais. »
Shinbe fouilla dans son sac à la recherche de la boîte de médicaments. La sortant, il lui tendit. Kyoko passa accidentellement sa main sur la sienne et Shinbe ressentit un éclair soudain de chaleur traverser son corps, ce qui fit durcir une certaine partie de son corps.
« Oh, qu'est-ce qu'elle était vulnérable à cet instant, il pourrait juste... NON ! à quoi pensait-il ? Mon Dieu... ils avaient raison de le traiter de pervers. »
Essayant de reculer rapidement pour mettre une distance de sécurité, il passa accidentellement son bras sur sa cuisse.
Kyoko se recroquevilla intérieurement face à ce toucher. Pourquoi devait-il être celui qui l'aidait à cet instant ? Pourquoi Toya ne pouvait-il pas être là , la regardant furieusement et lui criant dessus ? « Ces lèvres, ces yeux, je... dois arrêter de le fixer comme ça ! » Elle détourna son regard vers la boîte de médicaments tandis qu'elle fouillait dedans, cherchant l'aspirine qu'elle gardait habituellement dedans. Les trouvant, elle leva les petites pilules.
Shinbe la fixait, hypnotisé. Elle n'avait pas encore essayé de le castrer, elle ne devait donc pas se souvenir.
Pourquoi ne pouvait-elle pas se souvenir, soupira-t-il silencieusement.
Elle le regarda de nouveau, croisant son regard qui la mit presque dans le coma l'espace d'un instant.
De l'eau ? S'il te plaît ? Tu ne sais pas combien elles sont horribles sans eau.
Shinbe était complètement troublé en l'entendant prononcer ces mots. Ses lèvres étaient si attrayantes... il pouvait juste... il se pencha... il regarda l'aspirine qu'elle tenait dans sa main. Concentration.
Oui, elles ont l'air d'être affreuses, dit-il en les regardant, même s'il ne savait pas du tout ce que c'était.
La porte s'ouvrit soudainement et il releva brusquement la tête d'un air coupable pour voir Suki et Kamui entrer avec la carafe d'eau.
Suki regarda Shinbe avec lassitude.
Qu'est-ce que tu mijotes, gardien ?
Shinbe recula en se demandant si Suki pouvait secrètement lire ses pensées ou quelque chose comme cela. Ãtrangement, elle pouvait savoir quand il se comportait mal... ou du moins y pensait.
Oh Suki, verse-moi vite de l'eau, s'il te plaît. Plus vite je prendrai ces médicaments, mieux ce sera, proposa Kyoko, sachant que Shinbe n'avait rien fait de mal.
Kyoko à la rescousse, l'acclama-t-il silencieusement.
Suki versa de l'eau dans sa tasse et commença à parler de la colère de Toya concernant le fait qu'elle ne soit pas revenue plus tôt hier après-midi.
Shinbe se pencha contre le mur, observant Kyoko, et écoutant à moitié la conversation.
⦠s'il m'avait crié dessus encore une fois, je pense que je...
Je veux te prendre dans mes bras et t'embrasser de manière insensée.
⦠ce n'est qu'une brute arrogante...
Je te veux tellement, Kyoko.
⦠et la manière dont il traite...
Shinbe gigota, se demandant combien de temps il pourrait garder son secret, maintenant qu'il l'avait revendiquée.
⦠n'est-ce pas, Shinbe ?
« Hein ? Est-ce que quelqu'un lui posait une question ? » Shinbe regarda Suki puis Kyoko tandis qu'elles attendaient toutes les deux une réponse.
Ne sachant pas du tout de quoi elles parlaient, il ne prit pas de risques.
Oui, voyons. Je pense que tu as tout à fait raison, Suki. Si vous voulez bien m'excuser, je dois parler à Toya.
Après cela, il s'enfuit rapidement par la porte.
Suki et Kyoko regardèrent la porte se fermer derrière lui, puis les deux filles gloussèrent.
Shinbe atteignit l'extérieur de la petite structure et se pencha en avant contre le mur. Il plaça ses mains sur le bois frais de chaque côté de sa tête, puis cogna son front contre les planches de bois. La douleur semblait toujours l'aider à se vider l'esprit. Ce matin, c'était lent. Après la nuit dernière, il ne pouvait plus contrôler ses sentiments. C'était bien pire qu'avant.
Il ne voulait vraiment pas peloter Suki pour se faire frapper, cela ne semblait pas correct après avoir touché le corps de Kyoko. Il avait peur de ne plus pouvoir toucher quelqu'un d'autre qu'elle sans avoir envie d'arracher sa propre main. Il avait choisi sa partenaire et elle ne le savait même pas.
Toya se tenait à quelques mètres de lui, observant son frère et sentant les ondes de culpabilité émaner de lui. L'un des avantages d'être gardien était de pouvoir sentir les choses concernant les gens autour, comme un détecteur de mensonges dans le monde de Kyoko.
Il haussa les sourcils.
Qu'est-ce que tu as fait, tu as encore peloté Suki ?
Toya regarda son frère en fronçant les sourcils, le voyant tressaillir en entendant sa voix.
Shinbe fut surpris, des yeux violet foncé posés sur Toya, puis il se releva du mur, se redressant.
NON ! Je... eh bien, tu vois...
Shinbe fronça les sourcils face à son propre bégaiement. Il se força rapidement à se calmer, se maîtrisant de nouveau.
Je restais simplement dehors pour ne pas faire de bruit et gêner Kyoko et sa gueule de bois, dit-il judicieusement, espérant que Toya en ferait de même.
Toya grogna à l'arrière de sa gorge :
Je veux toujours savoir comment elle a fini ivre. Je pense que je vais aller lui demander, tout de suite.