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Sketch of the History of the Knights Templars
Pendant les 25 années de paix générale qui ont précédé sa mort, le grand homme de guerre que nous pleurons aujourd'hui se montra constamment homme pacifique et bienfaisant, véritable cosmopolite, ami sincère de l'humanité, en prenent ce mot dans sa plus complète acception.
Par une singularité nouvelle de sa destinée, Sidney-Smith meurt en France, où il reçoit les regrets et les hommages de ses compatriotes, et de ses concitoyens d'adoption, au moment même où l'Angleterre, sa patrie, restitue à la France les cendres de Napoléon. La nation Anglaise paie un tribute d'admiration à ce même Empereur qu'elle n'a cessé de combattre pendant sa vie. La terre Française reçoit les dépouilles mortelles de l'Amiral Britannique qui employa longtems contre elle ses talens et son courage, qui depuis a consacré 25 années à servir, au milieu des Français et avec leur co-opération, la cause sacrée de l'humanité et celle du malheur.
Au nombre des titre de gloire de l'Amiral, nous ne devons pas omettre la louable persévérance avec laquelle il s'est occupé de perfectionner les moyens de sauvetage et sa grande part à la fondation de la socièté générale des naufrages, qui a donné un plus grand dèveloppement à ses vues bienfaisantes. Ainsi les passions humaines s'éteignent en présence d'un tombeau. Ainsi les nations abjurent de cruelles et injustes antipathies qui les ont trop longtemps divisées. Ainsi tous les hommes de bien, quelle que soit leur terre natale, se réunissent pour honorer l'homme qui, par ses vertus et ses actions, a servi avec dévouement les grands intérêts de la famille humaine.

DISCOURS PRONONCÉ SUR LA TOMBE DE SIR WILLIAM SIDNEY SMITH, AMIRAL DE LA FLOTTE ROUGE D'ANGLETERRE,
Lors de ses obsèques, dans le cimetière de l'Est, à Paris, le 29 Mai 1840,PAR M. CAILLE,Avocat à la Cour Royale de ParisMessieurs,
Invité depuis quelques instans seulement, par la famille de l'Amiral William Sidney Smith, á exprimer de justes regrets sur sa tombe, je ne puis apporter qu'un bien faible tribut d'admiration à sa mémoire, surtout après l'éloge que vient de prononcer au nom de l'Ordre du Temple, dont cet illustre Anglais était le régent, l'un des dignitaires de cet ordre, et lorsqu'une notice historique de sa vie vous a été présentée par l'un des litterateurs les plus distingués de la France.
L'histoire transmettra à la postérité les exploits du célèbre marin, de l'habile négociateur, du généreux philanthrope, dont nous déplorons la perte. C'est exclusivement sous le rapport moral et philosophique que j'essaierai de vous retracer quelques épisodes de sa carrière entièrement consacrée au bonheur de ses semblables, et l'influence politique qu'il exerça sur les états, avec lesquels il fut mis en rapport par son gouvernement.
Sidney-Smith, comme vous le savez, comptait déjà dix-huit années de services militaires distingués, lorsque, à l'âge de trente-quatre ans, il fut chargé par le ministère Anglais, en qualité de commodore, de la station maritime de [Pg xxxviii] l'Archipel du Levant, en 1798; c'est-à-dire à l'époque de la conquête de l'Egypte, par l'armée de la république Française, sous les ordres du général Bonaparte.
Je ne vous peindrai pas sa lutte héroïque avec le géant du siècle, à Saint-Jean-d'Acre, dont il fit lever le siège après soixante jours de tranchée: je me hâte de vous signaler un service qui devait être incalculable dans ses conséquences politiques, et que Sidney-Smith rendit à la sublime Porte, dont il releva le courage par ses succès: il sut profiter du crédit obtenu par sa victoire de Saint-Jean-d'Acre, auprès du sultan Selim III, et de Kléber, général de l'armée Française en Egypte, depuis le retour de Bonaparte en France, pour négocier le fameux traité d'El-Arich, du 24 janvier 1801, traité qu'il considérait comme le préliminaire de la paix entre les puissances belligérantes. Il y stipula que l'armée française évacuerait l'Egypte, avec armes et bagages, et serait transportée en France.
Sidney-Smith signa ce traité avec les pleins pouvoirs du ministère Britannique, dont il était revêtu: le grand-visir et le général Kléber le signèrent, au nom de leurs gouvernemens respectifs.
Je ne puis trop insister, messieurs, sur cette époque où Sidney-Smith arbora l'olive de la paix entre trois camps ennemis; il avait prévu les nouvelles destinnées de la France, et sa haute sagesse avait préféré de traiter avec elle, dans l'intérêt de la Sublime Porte, et de gouvernement Britannique lui-même, et surtout dans l'intérêt de l'humanité, plutôt que de courir la chance faillible des combats.
Mais le ministère Anglais, qui ne lui avait donné qu'à regret des pouvoirs et des instructions pacifiques, informé que l'armée du grand visir était forte de 80,000 hommes, tandis que celle de Kléber ne l'était que de 8000, crut l'occasion favorable d'anéantir la puissance Française en Egypte, il refusa de ratifier le traité d'El-Arich, et osa donner l'ordre à l'amiral Keith d'exiger que l'armée Française mît bas les armes et se rendît prisonnière de guerre. Sidney-Smith fut profondément affligé de cette violation des lois de la guerre et du droit des gens.
Dés-lors les hostilités recommencèrent. L'armée Française combattit avec ce sentiment de l'indignation qui décuple le courage: elle défit entièrement l'armée ottomane á Héliopolis. Le grand-visir, qui la commandait, ne dut son salut qu'à la fuite, en laissant aux vainqueurs ses bagages, et un immense butin.
Ce ne fut q'une année après cette victoire que l'Egypte fut rendue aux Turcs, par le traité d'Amiens, de 1802; tandis qu'ils l'auraient recouvrée, sans de nouvelles pertes, dès 1801, si le traité de Sidney-Smith eût été ratifié, comme il aurait dû l'être, puisqu'il n'avait fait que se conformer strictement aux instructions de son gouvernement.
Vous connaissez, messieurs, la brillante réception qui fut faite à Londres, à Sidney-Smith, lors de son retour dans sa patrie, en 1802; il y fut accueilli avec le plus grand enthusiasme; le surnom de Dieu marin lui fut décerné par le peuple. La ville de Rochester s'empressa de l'élire pour son représentant au Parlement, où il siéga dans les rangs de l'opposition, entre Shéridan et Fox.
J'appellerai votre attention sur un autre genre de services rendus à la nation Ottomane, par Sidney-Smith. Pendant son séjour à Constantinople, il avait acquis une grande influence sur Mahmoud-Kan II, qui, en 1808, succéda au sultan Mustapha IV, son frère. Sidney-Smith, par ses conseils, a puissamment contribué aux importantes révolutions politiques que Mahmoud-Kan II a introduites dans ses états, et notamment à la charte constitutionnelle que sous le titre de Hatti-Shériff de Gulaneh, cet immortel sultan a donnée au peuple Ottoman, charte dont le vice-roi d'Egypte, Méhémet-Ali, vient d'ordonner l'application, pour la révision de l'horrible procès intenté, dans la ville de Damas, par le fanatisme de secte, contre d'honorables Juifs, faussement accusés du meurtre d'un prêtre catholique.
Il est un plus grand service encore rendu a l'humanité, et auquel Sidney-Smith a eu la gloire de participer très-activement, c'est l'abolition de l'esclavage, dans toutes les colonies de la Grande-Bretagne. Grâce a l'ascendant irrésistible de l'opinion publique, les gouvernemens de l'Europe seront forcés d'imiter ce sublime exemple, et de proscrire irrévocablement cet abominable trafic d'hommes, arrachés a leur patrie, pour être vendus, comme un vil bétail.
Je ne dois pas oublier que, dès l'année 1817, Sidney-Smith infatigable dans son dévouement a l'humanité, avait établi, a Londres et a Paris, une association anti-pirate, dont l'objet était de faire cesser la traite des blancs, exercée impunément, en présence de l'Europe civilisée, par les corsaires d'Alger, de Maroc et de Tunis.
Dans les dernières années d'une vie illustrée par tant d'actes mémorables, Sidney-Smith s'occupa de la recherche des moyens de sauvetage, pour les navires exposés aux tempêtes de la mer. Il a eu l'honneur d'être dans cette découverte l'un des inventeurs qui out le plus approché de la solution du problème de la garantie contre les naufrages.
Telle a été, messieurs, la carrière de Sidney-Smith, promu successivement à tous les grades de la marine, et jusqu' à celui d'Amiral de la Flotte Rouge d'Angleterre, que lui conféra le roi Guillaume IV; il a été de plus décoré de tous les ordres des souverains de l'Europe, en reconnaissance des nombreux services qu'il leur a rendus.
A la vue du triste cercueil, qui contient les restes de Sidney-Smith, nous bornerons-nous au stérile récit de ses nobles actions? Non, messieurs. Le vénérable évêque de l'église Anglicane, qui préside avec tant de dignité, à ces funérailles, vient d'invoquer, dans sa prière, le texte de l'Evangile, sur l'immortalité de l'âme, qu'il me soit permis d'ajouter à cette révélation du Christianisme, que les progrès de la science out démontré cette vérité, sans lui faire rien perdre du charme de l'espérance.
En effet, dans ce cercueil, que la tombe n'a point encore dérobé à nos regards, que reste-t-il? Des débris d'organes inanimés. Mais ces nerfs, cette membrane qui les enveloppa, cette pulpe cérébrale qui les pénétra, qu'étaient-ils? de la matière! Ah! de ces organes matériels, à la Sensation, il y a un abîme! Et de la Sensation à la Pensée, un nouvel abîme! Elle est donc immatérielle, cette Pensée, qui distingue si éminemment notre espèce, des autres êtres organisés!
N'est-ce pas la Pensée qui créa les arts et les sciences, qui, s'élevant jusqu'à la cause première, terme de ses conquêtes, y découvrit la Divinité, dont elle établit le culte universel, comme le plus puissant mobile de la civilisation?
Combien n'est-il pas consolant, au milieu des parens et des nombreux amis qui entourent cette tombe, d'y professer, d'y confirmer le dogme de l'immortalité de l'âme, et de pouvoir y proclamer que Sidney-Smith n'est pas mort tout entier?
Oui, messieurs, le principe intellectuel qui nous anime, est incontestablement un être, et cet être est immortel. Pourrait-il donc s'anéantir, quand les organes matériels de nos corps sont eux-mêmes éternels dans leurs élémens?
L'orateur qui vient de retracer avec tant de talent, la carrière de l'illustre Amiral, vous a signalé la restitution des cendres de l'empereur Napoleon a la France, par le gouvernement Britannique, comme un gage de la parfaite harmonie, heureusement rétablie entre les deux nations. Je partage ce favourable augure, et tel fut le vœu le plus intime de Sidney-Smith, qui ne cessa de répéter que la civilisation du monde tenait essentiellement à l'alliance de la France et de l'Angleterre.
A l'aspect des restes de Napoléon, traversant l'Océan pour recouvrer un tombeau dans sa patrie, j'aime à prévoir que les restes de Sidney-Smith seront pareillement réclamés par son gouvernement, et qu'à leur tour, ils traverseront la mer, pour être déposés à Westminster, dans le lieu consacré à la sépulture des rois et des reines, ainsi qu'à celle des grands hommes de l'Angleterre.

SKETCH OF THE HISTORY AND POSSESSIONS OF THE ORDER IN IRELAND
The Order of Knights Templars was introduced into Ireland about the year 1174, by Richard, surnamed Strongbow, Earl of Pembroke, or Strigul. A Priory was founded by him in that year, under the invocation of St. John the Baptist, at Kilmainham, in the County of Dublin, for Knights Templars, (see Archdall's Monasticon Hibernicum, pages 222 et seq.) and King Henry II. granted his confirmation. Hugh de Cloghall was the first Prior, and enjoyed that office till about the year 1190. The noble founder had enfeoffed the Prior in the whole lands of Kilmainham; and dying in 1176, was interred in Christ Church. The two Orders of Knights Templars and Hospitallers were confirmed the same year. After this, Hugh Tirrel bestowed upon the Prior of this hospital the lands of Chapel-Izod and Kilmehanock, "free from all secular services and burthens, with all liberties and free customs, in wood and open country, in meadows and pastures, in roads and paths," &c. &c.
Kilmainham continued to be the Grand Priory or Preceptory of the Templars, till their suppression in 1312; and the Superior of the Order, according to Sir James Ware, sat in the House of Peers as a Baron, a privilege enjoyed, as regarded the military orders, only by the Grand Priors of Kilmainham for the Templars, and of Wexford for the Hospitallers. He is styled by Archdall, quoting different ancient records, sometimes Prior, and sometimes Master, as in the case of Maurice de Prendergast, 1205 and 1210; sometimes Preceptor, as "D. Walens, Preceptor of the Templars, 1247;" sometimes Grand Master, as "1266, Robert was Grand Master of the Templars in Ireland this year." In 1288, we find "William Fitz-Roger was Prior this year, and Thomas de Thoulouse Master of the Templars;" in 1296, "Walter le Bachelour was Master, and William de Rosse was Prior, who the same year was made Lord Deputy of Ireland." He continued in these offices till 1302, when he was made Chief Justice; and appears in this year also to have preferred his complaint against the sheriff of Dublin for an illegal seizure, as "the Master of the Templars." And in 1309, Gerald, son of Maurice, Lord of Kerry, is spoken of as "the last Grand Prior of the Order."
The subordinate governors of the Order appear to have been styled indiscriminately Preceptors or Commanders; and their castles or estates Preceptories or Commanderies. These were (according to Ware and Archdall) at Clontarf, in the county of Dublin, founded in Henry II.'s reign, as it is supposed by the Nettervilles; St. Sepulchre, in the city of Dublin or its suburbs, near the place where the Archbishop's palace stands; Kilsaran, in the county of Louth, founded in the 12th century by Maud de Lacie; Kilbarry and Killure, the one about a mile and a half from Waterford, and the other two miles east of that city, in the county of the same name, both founded in the 12th century, the founders unknown; Crooke, in the harbour of Waterford, four miles east of the city, founded in the 13th century, by the Baron of Curragmore; Clonaul, in Tipperary, as also one at Thurles, in the same county, where a castle now standing was, according to the tradition of the country, for no record exists, the castle of the Knights Templars; Teach-Temple, or Temple House, in the county of Sligo, founded in the time of Henry III.; Mourne, in the county of Cork, founded in the reign of King John, by Alexander de Sancta Helena; Killergy, or Killarge, in the county of Carlow, "founded in the reign of King John, by Gilbert de Borard, for Knights Templars, under the invocation of St. John the Baptist; Kilclogan, in the county of Wexford, founded in the 13th century by the family of O'More, which appears to have had a large estate attached to it, from the report made in the thirty-second year of King Henry VIII., quoted by Archdall, page 748; and Dundrum, in the county of Down, where is a strong castle, now in ruins, said to have been built by Sir John de Courcy."
All these Commanderies and Preceptories were, together with the Grand Priory of Kilmainham, granted on the abolition of the Order, to the Knights of St. John of Jerusalem, in whose possession they continued till the dissolution of monasteries in the reign of King Henry VIII.
It may not be uninteresting to add the account of Archdall regarding the circumstances which attended the persecution and attempted destruction of the Order in Ireland.
"In 1307, Walter de Ewias, or de Aqua, being Prior, the King (Edward II.) transmitted to John Wogan, Justiciary of Ireland, the order made for the suppression of the Knights Templars in England, on the Wednesday after the feast of the Epiphany, enjoining him to have it executed in Ireland without delay, and before the rumour of what was done in England could reach this kingdom. The mandate was accordingly obeyed, and on the morrow of the Purification the Templars were everywhere seized."
"1309. The King, by writ, dated September the 29th, did further command the said Justiciary to apprehend, without delay, all the Templars that had not yet been seized, and them safely to keep in the Castle of Dublin, together with those who had been before apprehended."
"1311. On the petition of Henry Danet, or De Tanet, the late Master of the Templars, and the other members of that Order, the King, by writ, dated December 4th, did grant for their support the manors of Kilclogan, Crooke, and Kilbarry."
"1312. This year, on the morrow of St. Lucia the Virgin, the moon appeared variously coloured, on which day it was finally determined that the Order of Knights Templars should be totally abolished."
"The trial of the Templars was conducted with great solemnity in the city of Dublin, before Friar Richard Balybyn, minister of the Order of the Dominicans in Ireland, Friar Philip de Slane, lecturer of the same, and Friar Hugh St. Leger. Amongst other witnesses against the Knights, were Roger de Heton, Guardian of the Franciscan Friars; Walter de Prendergast, their lecturer; Thomas, the Abbot; Simon, the Prior of the Abbey of St. Thomas-the-Martyr, and Roger, Prior of the Augustinian Friary in Dublin. The depositions against the Templars were weakly supported, yet they were condemned; but more indeed through blind compliance with the prevailing practice throughout other parts of Europe, than any demerits being proved against their persons. Their lands and possessions of every kind were bestowed upon the Knights of St. John of Jerusalem by the Pope, which grant was confirmed by the King, who at the same time entered a protest of his rights against the assumed power of the Pope."

EXTRACT OF CHARTER
BYKING JAMES THE IV. OF SCOTLAND,CONFIRMING GRANTS BY KINGS MALCOLM IV., ALEXANDER II.,ALEXANDER III., JAMES II., AND JAMES III., TO THEKNIGHTS OF THE HOSPITAL AND TEMPLEJacobus Dei Gracia Rex Scotorum. Omnibus probis hominibus tocius terre sue clericis et laicis salutem. Sciatis nos quasdam cartas et euidentias per quondam nostros illustrissimos predecessores Scotorum reges factas et concessas Deo et Sancto Hospitali de Jerusalem et Fratribus Eiusdem Militie Templi Salomonis, videlicet, CARTAM confirmacionis quondam serenissimi patris nostri cuius anime propicietur. Deus factam super carta confirmacionis quondam aui nostri Jacobi Secundi regis Scotorum in qua inseruntur quatuor carte quondam predecessorum nostrorum Malcolmi et Alexandri Scotorum regum facte dicto Hospitali de Jerusalem, nunc Torfiching nuncupat. ac ffratribus eiusdem de nonnullis elemosinis terris toftis libertatibus tholoneis consuetudinibus in empcionibus et vendicionibus qualitercunque [Pg xlviii] contingen. amerciamentis et priuilegiis ac super feodo et forisfactura suorum libere tenencium ut in dictis quatuor cartis predecessorum nostrorum in eisdem cartis confirmacionis in forma maiori insertis plenius constat et continetur de mandato, nostro uisam lectam inspectam diligenter examinatam, sanam integram non rasem non cancellatam nec in aliqua sua parte suspectam ad plenum intellexisse sub hac forma: —(1.) Jacobus Dei gracia rex Scotorum, omnibus probis hominibus tocius terre sue clericis et laicis salutem, – Sciatis nos quasdam cartas et euidentias per nostras illustrissimos, predecessores factas et concessas, Deo et sancto Hospitali de Jerusalem ffratribus eiusdem militie Templi Salomonis, videlicet, Cartam confirmacionis quondam nostri serenissimi progenitoris Jacobi Secundi Scotorum regis factam super cartis quondam Malcolmi et Alexandri Scotorum regum dicto Hospitali de Jerusalem, nunc Torfiching nuncupato ac ffratribus eiusdem de nonnullis elemosinis terris toftis libertatibus tholoneis consuetudinibus in empcionibus et vendicionibus et qualitercunque contingen. amerciamentis et priuilegiis vt in quatuor cartis predecessorum nostrorum in dicta carta confirmacionis in maiori forma insertis continetur de mandato, nostro uisam lectam inspectam et diligenter examinatam sanam integram non rasam non cancellatam nec in aliqua sui parte suspectam, ad plenum intellexisse, sub hac forma. (2.) Jacobus Dei gracia rex Scotorum, Omnibus probis hominibus tocius terre nostre clericis et laicis salutem, Sciatis nos uidisse inspexisse et diligenter examinasse cartas et euidentias illustrissimorum progenitorum et antecessorum nostrorum, viz. Malcolmi Alexandri et Alexandri regum Scocie, quarum tenores de uerbo in verbum sequuntur. [Here follow the respective grants of confirmation by the above Sovereigns, three of which are addressed to the Hospitallers, and one (by Alexander II.) to the Knights Templars. These we could have wished to have quoted at large, but find it would exceed our limits. The Charter then proceeds] – "Quasquidam" cartas et euidencias tam dictas cartas confirmacionum quondam patris et aui nostrorum qua measdam quatuor cartas predictorum predecessorum ac donaciones concessiones libertates priuilegia ceteraque omnia et singula in eisdem contentis in omnibus suis punctis et articulis condicionibus et modis ac circumstanciis suis quibuscunque forma pariter et effectu in omnibus et per omnia ut premissum est approbamus ratificamus et pro nobis et successoribus nostris pro perpetuo confirmamus. Ac insuper, ubi in dictis cartis non clare constat in illo termino 'de tholoneis' nos tamen ob singulares specialesque fauorem, amorem, et delectionem, quos gerimus ergo dilectum familiarem militem, nostrumque consiliarium delectum Wilelmum Knollis, modernum preceptorem eiusdem Loci de Torfichin, nostrum thesaurarium, Volumus, Concessimus, et hac presenti carta nostra Concedimus eidem Preceptori et suis successoribus Preceptoribus de Torfiching ut sint liberi a solucione alicuius custume de quibuscunque bonis et mercanciis suis destinandis per eosdem ad partes extra-marinas pro solucione ipsius Preceptoris responsionis, que vero responsio extendit ad ducentos ducatos, et quod annuatim in nostro saccario videatur ad quantam summam custume dicta bona se extendunt et tantum eidem Preceptori allocatur. In cuius rei testimonium, huic presenti carte nostre confirmacionis magnum sigillum apponi precipimus. Testibus, &c. Apud Edinburge decimo nono die mensis Octobris anno domini millesimo quadringentesimo octuajesimo octauo et regni nostri primo.

S. M. G. D. O
We, the Elect Masters of the Venerable Society sacred to John, or of the Social Order of Freemasons, Rulers of the Lodges or Tabernacles, constituted at London, Edinburgh, Vienna, Amsterdam, Paris, Lyons, Frankfort, Hamburgh, Antwerp, Rotterdam, Madrid, Venice, Ghent, Regiomonte, Brussels, Dantzic, Middleburgh, and in the City of Cologne, in Chapter assembled in the said City of Cologne, in the year, month, and days aftermentioned. Our Preses being the Master of the Lodge established in this City, – a venerable Brother and most learned, prudent, and judicious man, called to preside over these deliberations, by our unanimous vote; – do, by these letters addressed to all the above-mentioned Lodges, – to our Brethren present and future, declare, that forasmuch as we have been considering the designs, which in these calamitous times embroiled, by Civil dissensions and discord, have been imputed to our foresaid Society, and to all the Brethren belonging to this Order of Freemasons, or of John, opinions, machinations, secret, as well as openly detected; all which are utterly foreign to us, and to the Spirit, Design, and Precepts, of the Association. It moreover appears that we, the Members of this Order, (chiefly because we are bound by those inscrutable secrets of our connection and covenant which are most sacredly kept by us all,) in order that we may be more effectually vilified among the uninitiated and profane, and that we may be devoted to public execration, are accused of the crime of reviving the Order of the Templars, and commonly designated by that appellation, as if we had combined and conspired for the purpose of recovering, as Members of that Order, its property and possessions, and avenging the death of the last Grand Master, who presided over that Order, on the posterity of the Kings and Princes who were guilty of the crime, and who were the authors of the extinction of said Order; as if, with that view, we were exciting schisms in the Churches, and disturbance and sedition in the Temporal Government and Dominions; as if we were influenced by hatred and enmity against the Pope, the Chief Pontiff, the Emperor, and all Kings; as if obeying no external power, but only the superiors and elected of our own Association, which is spread throughout the whole World, – we executed their secret mandates and clandestine designs, by the private intercourse of correspondence and emissaries; as if, in fine, we admitted none into our Mysteries but those who, after being scrutinised and tried by bodily tortures, became bound and devoted to our Conclaves. Therefore, having all these considerations in view, it hath seemed to us expedient, and even absolutely necessary, to expound the true state and origin of our Order, and to what it tends, as an institute of charity itself, according as these principles are recognised and approved by those who are most versant in the Highest Craft, and by masters enlightened in the genuine sciences of the Institution, and to give forth to the Lodges or Conclaves of our society the principles thus expounded, digested, and organised, as an examplar authenticated by our signatures, whereby a perpetual record may remain of this our renewed covenant, and the unshaken integrity of our purpose; and also in case, through the daily increasing propensity of the people to animosities, enmity, intolerance, and wars, this our society should hereafter be more and more oppressed, inasmuch as to be unable to maintain its standing and consolidation, and thus be dispersed to some distant regions of the earth; and in case, through lapse of time, the society itself should become less observant of its integrity, purity, and incorruptibility, nevertheless, in better times and more convenient circumstances, there may remain, if not the whole, yet perhaps one or other of the duplicates of these presents, by which standard the Order, if subverted, may be restored, and if corrupted or estranged from its purpose and designs, may be reformed. For THESE CAUSES, by these our universal letters, compiled according to the context of the most ancient monuments which are extant, concerning the objects of the institution, – the rites and customs of our most ancient and most secret order, – We, Elect Masters, influenced by the love of the true light, do, by the most solemn sanctions, adjure all fellow-labourers, to whom these presents now or in time hereafter may come, that they withdraw not themselves from the truth contained in this document. Moreover, to the enlightened, as well as to the darker world, whose common safety concerns and strongly interests us, we announce and proclaim, —