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Captiver Une Princesse Américaine
- Maintenant, vous dites n'importe quoi. Avait-il perdu la tête ? Je suis déjà en train de penser, et dans un sens, d’agir. Partez avant que ces absurdités ne déteignent sur ma personne. Je ne vous veux pas près de moi si c'est contagieux.
Ses lèvres se contractèrent légèrement.
- Venez, dit-il en tendant la main. Marchez un peu à mes côtés. Je suis curieux de vous connaître.
Il avait déjà ruiné sa quiétude, alors elle décida faire fi de son humeur. Brianne plaça sa main dans la sienne et se leva. Ils marchèrent en silence pendant quelques minutes. Elle détestait l'admettre à haute voix, mais elle était aussi curieuse à son sujet.
- Vous n'avez jamais dit ce qui vous amène à New York.
- Je ne vous ai rien dit ?
- Non, dit-elle. Du moins, je ne me souviens pas que vous l'ayez fait. Il est possible que je n’aie pas fait attention ou que j’aie complètement oublié. Cela va peut-être vous surprendre, mais je ne passe pas mes journées à penser à vous.
Son rire étouffé résonna autour d'elle.
- C'est juste. Je suis ici plus ou moins en vacances.
- Cela implique que vous êtes aussi ici pour autre chose.
- Oui peut-être, répondit-il sans donner plus de détails. Parlons d'autre chose.
Elle n’appréciait pas qu'il ne veuille pas lui en dire plus. Brianne se jura d'obtenir plus d’information plus tard.
- Comme quoi ? Elle lui permettait de changer de sujet, mais il avait piqué sa curiosité. La raison pour laquelle il était à New York n'avait pas vraiment d'importance. C'est plutôt le fait qu'il refuse de lui dire qui lui donnait l’envie de découvrir la vérité.
- Combien de temps restez-vous à New York ?
Brianne avait décidé de rentrer avant qu'il ne l'aborde dans le parc. Maintenant, cependant, elle était encline à rester plus longtemps. Peut-être qu’elle souhaitait trouver quelque chose pour occuper son temps. Les rencontres sociales n'étaient pas du tout comme elle l'avait imaginé ici. Elle aurait dû le savoir, bien sûr. Ils étaient ennuyeux en Caroline du Sud, et ils étaient tout aussi ennuyeux à New York. Le fait qu'ils soient citadins ne changeait pas le résultat. Elle devait agir comme une vraie dame, et il n'y avait pas d'excitation à cela.
- Indéterminé, répondit-elle en haussant les épaules. Ma mère restera aussi longtemps que je souhaite rester. Je pense que nous reviendrions cet hiver, mais cela n’est pas certain.
Il hocha la tête.
- Le temps serait plus agréable là-bas pendant les mois les plus froids ; cela a du bon sens. Mais j'ai entendu dire que New York en hiver est extraordinaire.
- Peut-être, convint-elle. Voulait-elle vraiment rester en ville aussi longtemps ?
- Êtes-vous consciente que nous venons d’avoir notre première conversation civilisée ? Nous ne voudrions pas commencer à sympathiser maintenant, n'est-ce pas ?
Le coin de sa bouche se releva en un sourire arrogant.
- Je vous raccompagne.
Elle ne comprenait pas cet homme, et elle commençait à penser qu'elle ne le comprendrait jamais. Pourquoi était-il si énigmatique, et qu’avait-il changé pour qu'il lui paraisse presque agréable ? Brianne se mordilla la lèvre inférieure et le laissa la raccompagner. Elle découvrirait tous ses secrets, et peut-être qu'après avoir accompli cet exploit, elle rentrerait chez elle. Démêler la personnalité de Julian Kendall devrait suffire comme divertissement, et quelque chose lui disait que ce serait bien plus fascinant qu'elle ne pouvait penser.
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