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Cornes comme symbole de la divinité
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Cornes comme symbole de la divinité

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Cornes comme symbole de la divinitе
Андрей Тихомиров

Initialement, les anciens chasseurs portaient des peaux d'animaux, ainsi que d'autres dеguisements, afin de se rapprocher d'eux et de les attraper. De plus, les animaux ? cornes symbolisaient le croissant "sacrе" de la lune. La Lune et le Soleil, ainsi que le ciel lui-m?me, o? vivent des soi-disant «cеlestes», par analogie avec la vie terrestre, sont devenus des concepts sacrеs, il fallait ressembler ? des animaux ? cornes, c'est pourquoi ils portaient des cornes, des sabots et une queue.

Андрей Тихомиров

Cornes comme symbole de la divinitе

? l'origine, les anciens chasseurs portaient des peaux d'animaux, ainsi que d'autres dеguisements, pour se rapprocher d'eux et les attraper. En outre, les animaux ? cornes symbolisaient la faucille «sacrеe» de la lune. La lune et le Soleil, ainsi que le ciel lui-m?me, o? les soi-disant «cеlestes» vivent, par analogie avec la vie terrestre, sont devenus des concepts sacrеs, il еtait nеcessaire de ressembler ? des animaux ? cornes, donc ils portaient des cornes, des sabots, une queue.

Les images des chasseurs par l'homme ancien du livre de Ceren E., "les collines Bibliques", Moscou, еditions Pravda, 1986. Les chasseurs, pour attraper un animal, portaient ses peaux, simulaient des sabots, des cornes, des queues, des masques ou des ailes, il еtait donc plus facile d'attraper n'importe quel animal qui percevait une personne dans la peau de cet animal pour son propre. De l? sont allеs une variеtе de loups-garous-les gens dans la peau des animaux, plus tard les acteurs (lycеens), les pr?tres et les sorciers, qui ont utilisе diverses mеthodes pour еtablir leur domination sur les membres de la tribu, y compris pour devenir des «p?cheurs d'hommes», c'est-?-dire faire des membres de la tribu leurs esclaves.

Sorcier dans la peau d'un Taureau, dessin de la grotte des Trois fr?res, Ari?ge, France, palеolithique supеrieur;

Le dеtail de la peinture murale de la «salle Bleue» du palais de pendzhikent, au Tadjikistan, reprеsente un combat avec des dеmons-divas, des personnes qui portent des cornes, des barbes de ch?vre et des pieds avec des sabots, deux dеmons fеroces, tirant des arcs, un Tourbillon volant dans la bataille sur un char ailе, c'est-?-dire des ailes artificielles;

L'un des dessins les plus anciens de Zaraout-Saya, en Ouzbеkistan, reprеsentant la chasse au Taureau sauvage, mеsolithique, chasseurs v?tus de v?tements ressemblant ? des capes, armеs d'arcs et de fl?ches.

? partir de la fin du XIIIe si?cle avant JC, une nouvelle еpoque commence pour l'Еgypte. Les pharaons, et surtout le cеl?bre Rams?s II, qui a rеgnе pendant 67 ans, transf?rent leur rеsidence en Basse-Еgypte pour se protеger des invasions qui mena?aient le pays d'abord par les Hittites, puis par les «peuples de la mer» et les Philistins. Ils cherchaient ? organiser la dеfense de l'Egypte non pas ? Th?bes tr?s еloignеes, mais au Delta du Nil, directement aux portes de l'Egypte. Le Dieu Amon avec une t?te de mouton (avec des cornes tourbillonnantes) perd progressivement sa place prеpondеrante. Rams?s II crеe ? Memphis un cimeti?re de taureaux sacrеs (avec des cornes). Loin au Sud, pr?s de la fronti?re avec le Soudan moderne, pr?s d'Abou Simbel, il construit un sanctuaire profond dans la roche. L'auteur allemand Erich Tseren, dans le livre Bible Hills, еcrit: "L?-bas, ? SUSE (la capitale de l'ancien Elam, dans le Sud moderne de l'Iran. – Ed.), ? la suite des fouilles de 1901-1902, les fran?ais ont trouvе … le «recueil de lois» du roi babylonien Hammurabi, еcrit sur une еnorme pierre de diorite. Ils ont еgalement trouvе des parties d'un bas-relief mural du XIIe si?cle Av. E., qui, ? c?tе du palmier, reprеsente un Taureau barbu avec une Couronne en forme de corne et des sabots de Taureau. Il est еvident que l'image la plus ancienne du Taureau se transforme de plus en plus en une image humano?de du Dieu de la lune, qui n'a finalement conservе que comme signe de divinitе les cornes sacrеes sur le front, comme celles des chefs Sеmites, des indo-europеens, des Germains et d'autres peuples.»

Isra?l prospеrera sous les auspices du roi, l'oint de Dieu, descendant de David, et alors les Juifs domineront leurs ennemis, s'approprieront les richesses de ceux qui les pillent maintenant. Tel еtait le concept gеnеral, mais les Juifs еtaient sous la domination de nombreux peuples, maintenant sous l'occupation de Rome, donc avec Rome et il faut se battre, c'est ce que les pr?tres de la parthe ont utilisе pour renverser la dynastie Pro-romaine d'Hеrode par un coup d'еtat, avec l'aide du Christ et de ses ap?tres dans

Et un autre trait a еtе Ajoutе ? l'idеe de Dieu dans la conscience religieuse d'Isra?l. Dans Yahweh, ils ont vu non seulement un Dieu redoutable, sеv?re et jaloux de sa gloire, mais aussi un Dieu de la justice et du bien. L'image de Yahweh devient le juge supr?me, la justice et l'impartialitе, punissant le porteur du mal quelle que soit sa position dans la sociеtе. Comme Amon chez les anciens еgyptiens, Yahweh chez les Israеlites est devenu le "vizir des pauvres". Cette idеe s'est formеe dans la conscience religieuse des masses populaires parce qu'en Dieu ils voulaient voir ce qui manquait tant aux dirigeants de la terre et ce qui еtait si nеcessaire pour un homme simple qui еprouvait l'oppression, l'oppression et l'injustice-la justice et la bontе envers les offensеs et les malheureux.

Pourquoi le Canon n'a-t-il inclus que 4 еvangiles? Et parce qu'au moment de leur admission officielle dans le Canon biblique, les 4 communautеs chrеtiennes les plus influentes de Constantinople, d'Alexandrie, d'Antioche et de Jеrusalem dominaient l'idеologie chrеtienne, leur version et formaient la base du nouveau Testament. Les autres еvangiles, et il y en avait des dizaines, ont еtе reconnus apocryphes.

Le Canon Du nouveau Testament a еtе approuvе au Concile de Laodakia de 364, mais en fait sa composition a еtе discutеe ? plusieurs reprises dans les conciles locaux et Ccumеniques suivants. Le texte lui-m?me dans les еvangiles canoniques a еgalement changе. En gеnеral, les changements dans le christianisme еtaient liеs aux changements dans l'Empire romain de l'еpoque. Un an plus t?t, dans 363, non sans la participation des chrеtiens, l'empereur romain Julien le Philosophe a еtе tuе dans une bataille avec les Perses (chez les chrеtiens, il est rеpertoriе comme un «Apostat»). Le contemporain de Juliana rhitor (confеrencier-enseignant) Libaniya a exprimе l'opinion que le meurtre de Julian n'еtait pas une affaire de Perses, mais de ses propres sujets chrеtiens ha?ssant l'empereur. Une telle hypoth?se semble tout ? fait plausible, puisque Julian a interfеrе avec les dirigeants des communautеs chrеtiennes, s'est battu avec les chrеtiens par des mеthodes pacifiques, comme on dirait maintenant, de propagande, en rеtablissant les Religions pa?ennes. Il a еcrit un certain nombre d'еcrits sous le nom de «Contre les chrеtiens», apr?s sa mort, ils ont subi le sort que les Cuvres de Celse, Porphyre et d'autres lettrеs anti-chrеtiens, ils ont еtе dеtruits partout. Nous n'aurions donc rien appris de ces Cuvres, sans les critiques chrеtiennes elles-m?mes (Fiodor de Mopsuet, Apollinaire de Laodicеe, etc.), qui les critiquaient farouchement et citaient de longues citations d'Cuvres anti-chrеtiennes dans leurs Cuvres. D'ailleurs, cette politique du christianisme se poursuit encore aujourd'hui. La littеrature athеe en Russie oligarchique (et pas seulement! il est presque impossible de trouver, seulement dans les bouquinistes, mais tous les magasins du pays sont remplis de dеchets chrеtiens apologеtiques et louables. Sous l'empereur Constantin en 313, l'еdit de Milan a reconnu l'еgalitе du christianisme avec les cultes pa?ens.