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Celtеminar-culture indo-europеenne primaire
Андрей Тихомиров
Culture archеologique celteminar-еpoque nеolithique (fin 4-3 millеnaire avant notre ?re. E. dans le Sud de la rеgion de la mer d'Aral, nommе d'apr?s la localitе de Celteminar, le nom provient probablement de l'ancien lit de la rivi?re ou du lac – hydronyme, plus tard un canal en Ouzbеkistan (Karakalpakia). Apparemment, c'est l'une des cultures archеologiques indo – europеennes primaires, qui a еtе dеveloppеe sur le territoire de l'Oural du Sud-dans le soi-disant «pays des villes».
Андрей Тихомиров
Celtеminar-culture indo-europеenne primaire
Cette culture a еtе еtablie par les fouilles de l'expеdition archеologique de Khorezm sous la direction de l'archеologue soviеtique S. P. tolstov en 1939-1940 et 1950. Le parking le plus important de cette culture est janbas-Kala n ° 4, situе ? 1,5 km au Sud de la forteresse. On y a dеcouvert les restes d'un grand (24 x 17 m2) logement au sol, construit ? partir de poteaux et de poutres en bois et recouvert d'un toit en roseau conique. Le logement, qui pouvait accueillir environ 100 personnes, servait d'habitat ? la communautе matriarcale, dont les membres se livraient ? la chasse et ? la p?che. Au centre de la maison se trouvait un grand foyer «sacrе» – le centre religieux de la maison, sur les bords – de nombreux foyers domestiques. On a trouvе des outils en silex microlitho?des, de type proche des outils nеolithiques de l'Oural et de la Sibеrie, des produits en OS, des cеramiques ? fond rond ornеes de timbres et de traits ou peintes de peinture rouge. Les vaisseaux naviculaires les plus caractеristiques. De bijoux-pendentifs et ornements de coquillages. Le stationnement remonte au 3?me – dеbut du 2?me millеnaire avant notre ?re. E. la Forteresse date du 4?me si?cle avant J. – C. – 1er si?cle apr?s J.-C. C'est-?-dire ? une еpoque ultеrieure. Le territoire de la forteresse est entourе d'un quadrilat?re (185 x 16 m?tres carrеs) d'un haut mur de briques crues avec 2 rangеes d'abattoirs. ? partir de la porte, la rue droite divisait la ville en 2 parties; chacune d'elles reprеsentait un quartier rеsidentiel solide, habitе par un groupe de genres apparentеs. Au bout de la rue se trouvait un sanctuaire communautaire, la «maison du feu». Sur le site on trouve des grains et des OS d'animaux, tеmoignant de l'occupation de la population par l'agriculture et l'еlevage; fl?ches en bronze ? trois pales, cеramiques, figurines en terre cuite, bijoux en bronze, perles.
Les colonies de la culture celtеminare se composaient de plusieurs grandes maisons au sol, ovales en plan, construites ? partir de piliers et de poutres en bois; le toit de forme conique еtait recouvert de roseaux. Au centre de la maison se trouvait un grand foyer avec un feu incessant, jouant le r?le de sanctuaire de la communautе matriarcale qui vivait ici. De nombreux foyers domestiques еtaient situеs sur les bords de l'habitation. Les principales activitеs des Celtes еtaient la p?che et la chasse, plus tard – l'еlevage. Leur inventaire en silex comprend des grattoirs, des incisives, des perforations, des agrafes, des pointes de fl?ches du m?me type. Il y avait aussi des pointes de fl?ches cylindriques en OS et des canons en OS avec des doublures en silex. La poterie еtait sculptеe sans tour de potier. Les vaisseaux sont ? fond rond et ornеs d'ornements estampеs et striеs disposеs en forme d'anneau. Parmi les cеramiques, les vaisseaux naviculaires prеsentent un intеr?t particulier. Les bijoux sont caractеrisеs par des perles de coquillages de forme cylindrique et des pendentifs en pierre et en coquillage. L'influence de cette culture archеologique s'еtendait le long de l'ouzbek jusqu'aux montagnes de Balkhan et jusqu'aux montagnes de l'Oural.
Dans le numеro historique: "?land-Arkaim: l'ancien patrimoine de l'Oural du Sud». Minist?re de la culture, des relations publiques et extеrieures de la rеgion d'Orenbourg, Fondation caritative «Arkaim», auteurs du texte: T. S. malyutina, G. B. zdanovich, photos, dessins, dessins: des archives de la rеserve «Arkaim», ainsi que T. S. malyutina, G. B. zdanovich, D. G. zdanovich, EA Anferova, Еditeur D. G. zdanovich, Orenburg, 2013, P. 18-19, еcrit: "Chaque le r?glement semble avoir еtе considеrе par ses habitants comme le Mythique «centre du monde». Le r?glement еtait imaginе comme еtant situе au point de l'axe spatial vertical et harmonisait l'espace environnant. Les caractеristiques de l'incarnation de cette idеe dеpendaient de la nature du paysage. Des plaques d'argile et des vases non seulement avec des ornements, mais aussi avec des signes – traces d'еcriture naissante ont еtе trouvеs sur les colonies. Le cercle des antiquitеs d'Arkaim comprend une sеrie de dеcouvertes remarquables de plastiques zoomorphes et anthropomorphes en pierre fine, qui reprеsentent une nouvelle page de l'histoire de l'art ancien de l'Eurasie. Les reprеsentations des hommes de l'?ge du bronze sur l'essence de l'homme sont tr?s prononcеes dans le rite funеraire d'Arkaim. L'homme ici n'est pas seulement un ?tre corporel et spirituel, mais il semble aussi avoir plusieurs ?mes. Le point tournant dans le destin post-mortem de l'?me (?me) еtait la dеcomposition des tissus mous du corps (cinq ans, selon Avesta). Apr?s cela, la substance positive de l'?me a еtе dеplacеe dans le pays des Anc?tres (elle еtait dans le Sud), et dans la tombe il n'y avait qu'une certaine «?me grave» sombre, associеe aux OS. Apr?s cela, les gens ont pеnеtrе dans la tombe-tombe (tr?s probablement, les femmes l'ont fait), les OS des morts ont nеcessairement violе, ont pris certaines choses (peut-?tre n'ont-ils saisi que certaines «?mes vides» de choses). ? l'avenir, les commеmorations dans les cimeti?res n'ont pas eu lieu".
Au Sud du «Pays des villes», ce sera le territoire de la culture celtеminaire, qui a еmergе plus t?t. Le nombre 5 еtait еgalement "sacrе" chez les anciens slaves. Paraskev-vendredi (du grec ????????? [paraskev?] – vendredi) est la plus ancienne divinitе fеminine des slaves orientaux. La vеnеration de Paraskeva vendredi en tant que dеesse m?re, patronne de l'agriculture, de la fertilitе et de la santе еtait rеpandue chez les slaves orientaux et apr?s l'adoption du christianisme en tant que religion officielle. L'еglise chrеtienne, contrairement ? Paraskeva-vendredi en tant que» m?re de toutes choses«, a classе Paraskeva-vierge parmi les» saints " chrеtiens. La divinitе, qui personnifiait le principe fеminin dans la nature, existait chez d'autres peuples: chez les Hittites (indo – europеens) – Ma (comparez le mot russe "maman", allemand – Mama, fran?ais – maman, anglais – mamma), chez les armеniens – ana?t, chez les parodies d'Asie Mineure, ? partir de laquelle son culte a pеnеtrе les grecs et les romains, – Cyb?le. Comme le croyaient certains apologistes chrеtiens, Adam a еtе crее le vendredi 1er mars, c'еtait l'?re "de la crеation du monde", qui a commencе ? ?tre appliquеe dans l'Empire romain d'Orient (Byzance) au 6?me si?cle, et en Russie apr?s l'adoption du christianisme. ROSH-gashana (nouvel an juif) au dеbut de septembre a officiellement fait face ? la Russie (1492 -1700)! Cela est arrivе apr?s la non-entrеe dans l'annеe 7000 «de la crеation du monde» de Jеsus-Christ (1492 sous Ivan III). Et Christ еtait si attendu qu'ils n'avaient rien construit et semе, ils s'attendaient ? ce que Jеsus conduise son jugement terrible sur tous et rende un verdict ? tous, surtout en ce qui concerne les «puissants de ce monde», ? quel point ils sont infaillibles. Hеlas, cela ne s'est pas produit. Et sous pierre Ier, en gеnеral, la cеlеbration du Nouvel an a еtе reportеe au 1er janvier et la chronologie de la «Nativitе du Christ» (1700) a еtе introduite, cependant, ? l'еpoque du calendrier Julien obsol?te, comme dans les pays protestants (dans les pays catholiques dеj? ? partir de 1582). le calendrier grеgorien a fonctionnе), remplacе par le calendrier grеgorien uniquement sous le pouvoir soviеtique en 1918, mais l'еglise orthodoxe russe continue de l'utiliser ? ce jour. Les sеpultures des morts ressemblent ? celles du zoroastrisme, l'une des anciennes Religions nеes sur le territoire de l'Oural du Sud. Le culte du zoroastrisme, conduit les pri?res et les formules magiques accompagnant le sacrifice, entre autres pri?res – les appels au feu et ? l'eau. Le culte du feu avait une signification particuli?re. Dans les temples zoroastriens (y compris dans les temples des parses modernes de Bombay), il n'y a pas d'images de divinitеs. Les croyants adorent le feu qui br?le sur l'autel. L'entrеe du temple est interdite aux gentils. Puisque le cadavre est considеrе comme impur, il est interdit de souiller le feu en touchant le cadavre. Vous ne pouvez pas offenser avec ce toucher aussi les еlеments sacrеs-la terre, l'air et l'eau. Par consеquent, les zoroastriens donnent le corps du dеfunt ? la destruction des animaux prеdateurs et des oiseaux. Habituellement, cela se fait dans un endroit dеsignе ("dakma", ou "tours du silence"). Les OS engloutis ont еtе recueillis et empilеs dans des dеp?ts spеciaux – ossuaires.
