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Transitions
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Transitions

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Les employés aux communications de la navette 22, sans se troubler même si, comme tous, l’âme en tumulte, et sans besoin d’en recevoir l’ordre par le commandant avaient insérés, avant d’exprimer une seule parole, un des traducteurs automatiques de bord, qui étaient activés dans les deux directions, et avec l’excuse que les paroles n’étaient pas arrivées clairement, ils avaient demandés de répéter. La communication de Rome est arrivée de nouveau, exprimée en anglais international grâce à l’ordinateur traducteur : il s’agissait d’ordinaires dispositions du service de la part des employés au trafic astro-portuaire. Ils ont été exécutés par la navette à la lettre ; mais si la discipline du personnel de bord, apprise dans les académies pour les officiels ou pour les sous-officiers du Corps Astronautique, avait évité les obstacles et peut être les problèmes, les cœurs de tous étaient en tempête.

Le commandant avait fait reprendre, avec les vidéos caméras de la navette 22, les images rapprochées de la Terre le long de l’orbite du vaisseau, en évitant de lancer des satellites explorateurs sur les autres orbites pour ne pas suspecter quelqu’un à terre, que le fait ne serait pas conforme aux conditions de retour.

Après avoir réfléchit et s’être consulté avec le premier officiel capitaine Marius Blanchin, un parisien trentenaire haut d’un mètre et quatre-vingt-dix, maigre, de peau rouge et des yeux verts hérédités de la mère irlandaise, Marguerite avait décidé de descendre personnellement à l’astroport pour une inspection directe, dans le but de comprendre un peu mieux la situation avant d’assumer d’autres initiatives. Comme elle ne connaissait pas l’allemand, même en ayant un traducteur inséré dans le propre micro personnel elle avait demandé à Valerio Faro de l’accompagner, vu qu’il comprenait et parlait cette langue couramment l’ayant étudiée beaucoup, à son temps, pour son mémoire de master en Histoire des doctrines économique et sociales centrée sur les œuvres de l’allemand Karl Marx, et l’ayant utilisé pour des recherches successives historique: Marguerite retenait à raison que, dans le cas où il était nécessaire de s’exprimer en allemand face à face avec quelqu’un, cela aura été opportun qu’un bon connaisseur de la langue parla directement, sans intermédiaire instrumental, et permettant ainsi de réduire le risque d’être découvert.

En attendant, en utilisant l’un des traducteurs automatique de bord, le commandant avait demandé en allemand à Rome l’autorisation à prendre terre avec le disque-navette. Cela a été concédé sans difficultés. Marguerite avait renforcé l’idée, en contestant qu’ils ne fussent pas piégés à terre, que leur mission fut tranquillement à connaissance du Commandant de l’astroport.

Un certain Paul Ricœur, soldat du peloton de la fanterie d’Astro-marine qui s’était disloqué sur la navette avec les devoirs de protection, avait pris poste sur le disque avec le commandant, Valerio Faro et le sergent pilote Jolanda Castro Rabal. Chacun des quatre avait avec soi un paralysant individuel.

Arrivés sur terre ils avaient vus, en gelant, que sur la tour de l’astroport de Rome campait le drapeau de l’Allemagne nazisme au lieu du drapeau habituel bleu ciel avec les étoiles dorées disposées en cercle des États confédérés d’Europe.

Le commandant avait ordonné à la pilote : “Jolanda, reste dans le disque, reste en pré-ascension et soit prête à décoller ”, et elle s’était donc embarqué avec les autre. Ils étaient entrés dans le bâtiment de l’astroport. Ici le trio avait pu croiser divers symboles nazismes; et il s’étaient retrouvés dans un grand bas-relief commémoratif exaltant 'Adolf Hitler I, Le duc et Empereur de la Terre et Conquérant de la Lune; et en écoutant les personnes rencontrées parler entre eux en allemand et en voyant quelque unes se saluer, comme dans le III Reich, avec le bras tendu, les trois avaient vérifié sans possibilité de doute de se trouver dans une société politiquement très divers de la leur, où il n’y avait pas lieu la vivante démocratie qu’ils avaient laissés à leur départ, mais c’était le nazisme à dominer.

Alors que le petit groupe tournait sur ses propres pas, Marguerite avait susurré, hésitante, aux deux compagnons : “Il pourrait s’agir d’un problème déclenché par nous à cause d’un dysfonctionnement de l’appareil Chronos”.

À peine à bord de la navette, elle avait ordonné à la pilote le retour sur la navette.

Dans les quelques minutes nécessaires pour rejoindre le vaisseau, la pensée de tous était allée aux respectives familles ; ils s’étaient demandés si leur proches les auraient reconnus et si, et même, dans ce monde ils y étaient : Marguerite avait laissé sur notre Terre le père, la mère et la sœur la plus jeune, elle aussi ingénieur mais civil et titulaire d’un studio professionnel, Valerio la maman, un frère marié et deux neveux ; la pilote le mari ; le soldat la femme et une fille.

Certainement, ce désordre temporel n’a pas eu d’effet sur l’équipage et les passagers de la chrono-navette, car personne s’est retrouvé englobé, et peut être aussi psychologiquement, dans la nouvelle société nazie.

Le commandant se promettait de recueillir, à peine à bord, des informations sur cette nouvelle inconnue Alter Terre en se connectant avec un des ordinateurs principales de la navette, à une archive historique : avec précaution, toutefois.

Au moment de sortir le disque de la remise Valerio Faro lui avait dit : “j’y ai déjà réfléchit, Marguerite et peut-être que tu te trompes : le problème peut-être est dû non à cause de notre navette du retour, mais d’une navette en exploration dans le passé ; et peut-être c’est justement grâce à la grande distance de la Terre auquel se trouvait notre navette 22 durant le changement historique que nous n’avons pas été influencés.

“MMMh…” elle avait pris en considération ses paroles dans un grommellement.

Il avait repris : “Marguerite, malgré la grande précaution que la loi impose pour les voyages dans le passé de la Terre, l’absolue certitude que le futur ne se soit pas modifié ne peut pas exister. Qu’est-ce-que tu en penses ? Il n’est peut-être pas possible que le dommage soit venu de la navette 9 ? Tu te rappelles, non ? Que seulement quelques jours avant que nous prenons le vol pour 2A Centauri on s’est retrouvé en Italie en 1933, avec l’équipe historique du professeur Monti ?”

“Tu as peut être raison ”.

Effectivement , même si, jusqu’à maintenant, jamais aucune mission historique avait interféré avec les affaires de la Terre ayant chacune toujours respecté les ordres du gouvernement de non-ingérence, mais un incident n’est jamais impossible, et c’est même vrai que, comme l’histoire le rappelle, en effet la première chrono-expédition historique avait risqué un problème temporel: un de son disque, lors que dans l’année 1947 il se trouvait en exploration à basse quota sur le New Mexico, il a été vu et signalé par une formation de bombardiers de l’USAF et il a été endommagé peu après par l’aviation militaire en s’explosant à côté. La navette, même si abimée, était réussie à atterrir dans une localité désertique à Roswell et les quatre occupants s’étaient embarqués sur un autre disque et se sont sauvés. Aucun bousculement temporel ne s’était passé, seulement grâce à un particulier dispositif auquel étaient dotées toutes les navettes et qui était mis en fonction par le pilote avant d’abandonner le moyen : un mécanisme qui avait fusionné chaque partie utile aux travaux éventuels de rétro-ingénierie, et pour lequel le débris récupéré n'avait pas pu servir aux Forces armées des États-Unis.

C’était connu, d’ailleurs que la chrono-aéronef n’était plus très récente, comme dénonçait son bas numéro de série, et c’est pourquoi ce n’était pas invraisemblables les problèmes et les imprévisibles pannes, malgré les travaux constants de manutention.

Ainsi come supposait Faro, les officiels ingénieurs de la navette 22 et ses êtres humains n’étaient pas touchés par le bousculement dans le temps – comme l’avait appelé Marguerite – car la navette s’était retrouvée au-delà de l’espace-temps autour à 2A Centaures; et cela les faisaient supposés, comme toujours avait pensé Valerio, que le désordre temporel n’était pas causé par la navette mais par un autre chrono-aéronef qui, à l’époque précédente en 2133, aurait accidentellement modifié le futur à cause d’un accident.

Le commandant avait enfin convenu que, si la calamité fût faite par la chrono-aéronef 22 au retour en orbite, même cela, avec tous les enregistrements de ses ordinateurs et avec les êtres humains qu’il transportait, cela aura été vraisemblablement transformé en devenant une partie du monde nazisme.

Il s’agissait de savoir maintenant combien et quelles expéditions historiques, rentrées après que la navette 22 avait laissé notre monde, ont faire un saut dans le passé durant le brève laps de temps passé sur la Terre entre le départ et le retour de la navette de Marguerite : seulement la navette du professeur Monti et de son équipe ou aussi les autres ?

Il y avait non seulement à considérer, come Valerio avait fait relever après avoir réfléchit ultérieurement, une éventualité différente de celle d’un seul univers changé par un incident, celle des univers parallèles: il s’agissait de la conjecture sérieuse de celle de plusieurs cosmo-physiciens, arrivée en mérite dans les décennies aux plus variées théories sans toutefois réussir à en vérifier aucune; si telle hypothèse est vrai, alors il n’y aurait pas une transition dans le temps avec une modification du futur de la Terre, mais la chrono-aéronef 22 aurait sauté à un certain moment, pour une erreur de manœuvre ou pour une panne de l’appareil Chronos, dans un univers parallèle assez proche à celui de la Terre, un autre cosmos où substitue un ’Alter Terra nazisme contrairement à nôtre monde; et en ce cas, comme en avait peur Marguerite : la cause serait liée à la navette même.

On en avait discuté.

Valerio avait dit à un certain point: “Supposons une pluralité incommensurable d’univers où chaque naissance correspond à une seule décision; par exemple un cosmos dérive de ma résolution d’aller en un certain lieu où il m’attend un incident qui me tue, alors que si nous n’y allons pas, je reste vivant et cet univers ne naît pas; et bien, comme historien et philosophe je me demande si la multiplicité des cosmos reste seulement hypothétique et qu’il soit réel toujours et seulement un unique univers originel, à travers, les décisions vraiment prises et des faits réellement passés, ou même si les univers parallèles existent vraiment tous et, en particulier, si chaque personne se trouve à vivre dans beaucoup d’eux, c’est à dire être un moi pour chaque possible choix de vie ou des autres pour chaque évènement influent, et donc qu’il existe sur chaque terre et Alter Terre encore et ainsi. Chacun de ces faits ou décisions crée un nouveau, un réel univers ou bien non ? Pour ce qui nous regarde, dans ce monde nazisme, il y a aussi nos alter ego ?”

Il était intervenu l’anthropologue Jan Kubrick : “Voyons si j’ai bien compris, Valerio: par exemple, dans le cas où tombe sur la tête d’un passant un vase de fleurs et le tue, cette personne meurt et si tout et il n’y a pas un autre univers auquel elle ne soit pas touchée et reste vivante et cette seconde possibilité reste donc très hypothétique; dans l’autre cas au contraire, il y a deux parallèles cosmos concrets, où respectivement le vase tombe et ne tombe pas, et la personne meurt réellement dans l’un et reste vivante dans l’autre. C’est comme ça?”

“Oui. Maintenant je trace deux simple graphiques, Jan”.

Valerio s’était approché à l’ordinateur le plus proche et il avait électroniquement dessiné deux schémas, ensuite il avait dit à tous : “La ligne continu représente les situations réellement en être et avec celle en pointillés celles seulement hypothétiques et non réalisées, et en simplifiant au maximum, nous pouvons se demander si cela serait comme ça, comme dans ce schéma A

Ou bien comme cela, comme dans le schéma ab

Et allant, à titre d’exemple, dans mon cas personnel, nous pouvons se demander s’il y a seulement Valerio Faro qui est en train de vous parler, le long de la ligne continue du schéma A, c’est à dire un moi-même existant au-dessus de cette réelle et unique Alter Terra nazisme, ou bien si il y a un autre sur notre Terre non nazisme, ce qui veut dire, en allant au graphique B, si il y a un Valerio Faro vivant contemporainement le long des deux lignes continues parallèles : un moi-même sur la Terre et un autre sur Alter Terra. Dans le cas où j’existe seulement sur Alter Terra, et donc si le graphique A est vrai, la Terre que nous connaissons n’existe plus, et elle est seulement et idéalement située sur une ligne en pointillé du même graphique A, une ligne maintenant hypothétique, devenu inexistante”.

Le commandant répondu: “les deux Valerio Faro, ou les deux due Marguerite Ferraris, et pour chacun de nous, pourrait pourtant ne pas être, en ce moment, sur les deux lignes continues selon le schéma B, mais sur une ligne continu selon le graphique A, et donc sur cette ligne qui dans le même graphique représente la Terre nazisme; dans d’autres paroles, toi et moi ici sur la navette et Valerio et Margherita numéro 2 en-dessous dans le monde: tous les deux sur la même Alter Terra, et ainsi pourrait l’être un double sur Alter Terra pour chacun des autres ”.

Il avait considéré: “…et moi je te complique ultérieurement les choses: il pourrait s’être vérifié un dédoublement de la navette avec tous ses passagers, et pour cela il se pourrait qu’une navette 22 soit retourné sur notre Terre parallèlement à l’arrivée sur Alter Terra de cette navette 22 sur lequel nous sommes maintenant, ou plutôt de cette alter navette 22; et en tel cas, les Valerio Faro, pour rester à moi seulement, pourrait être non deux, un sur la Terre et un sur Alter Terra, mais même trois, deux ici et un sur notre Terre. Si au contraire il n’y a pas d’univers parallèles, et donc qu’on exclut complètement le schéma B et on accepte seulement le A, il y a la possibilité que moi et aussi le seul Valerio Faro, Margherita Ferraris la seule Margherita Ferraris etcetera: la possibilité, non la certitude, qu’en restant quand même vivante l’autre hypothèse que ces inopportuns de Valerio Faro numéro 2, de Margherita Ferraris numéro 2 et d’un alter ego pour chacun de nous, il en a aussi, dans quelque parties là en-dessous”.

“Il y en a perdre la tête, Valerio”.

“Oui, Margherita, mais il reste le fait que c’est logique de promettre sur le cas qui est à nous le moins défavorable, celui des routes historiques imaginaires aux côtés d’une unique route réelle comme dans le schéma A, en restant à lequel a raison de penser sur l’être et de prédisposer les actions pour changer les choses; dans l’autre cas non, car tout le possible est réalisé, il procède dans le temps réellement long d'un numéro incalculable de routes pour de nombreux carrefours "

“Nous négligeons l’idée que, éventuellement, sur cette Alter Terre il y a un Alter Valerio, une Alter Margherita et ainsi de suite”, avait dit le commandant, “et concentrons-nous sur quelque chose de positif : si nous sommes maintenant sur la ligne continue du graphique A, où la Terre est devenue par incident dans le passé l'Alter Terra nazisme, et si donc il n’y a pas d’univers parallèles, nous pouvons réorganiser les choses !”

Silence.

“Oui oui, Messieurs, en allant dans l’unique passé et en opérant pour faire devenir en pointillé, c’est à dire seulement le plus hypothétique, le trait continu nazisme, et en faisant retourner au continu, c’est à dire réel, ce que, après la transition dans le temps, est allé en pointillé, c’est à dire en ce monde démocratique que nous connaissons et que pour le moment n’existe plus mais qu’il faut rétablir ”.

Elle avait intervenu avant la chercheuse Anna Mancuso, en s’adressant au directeur et ami professeur Faro : “Malheureusement, Valerio, j’ai bien peur qu’il ne sera jamais plus possible de stabiliser avec certitude si c’est le schéma A qui est vrai ou bien le B. S’il y aurait, pour pur malencontreuse hypothèse, de réels univers parallèles comme dans le schéma B, et même en allant dans le passé et en éliminant la cause de la transition dans le temps, il serait possible que cette Alter Terra nazisme ne se montre jamais, mais simplement que nous, à ce point, on saute dans un univers où le nazisme n’a pas gagné et où nous nous retrouverons, dans l’année 2133, notre société laissée en partant pour 2A Centaures; nous n’apercevrons pas de l’existence de l’Alter Terre et le fait d’être simplement retournés sur le parallèle binaire où il y a notre Terre”.

Valerio: “Oui, je suis d’accord, Anna; après tout de pure foi, un peu comme pour le choix que tout le monde fait, plus ou moins inconsciemment, nous scientifiques compris, d’être dans le monde et non d’être un monde. Ce n’est en effet pas possible de démontrer que le solipsisme soit vrai ou faux”.

“Le solips...quoi?” avait demandé l’ichtyologiste Elio Pratt, plus préparé en discipline scientifique qu’en matières humanistes.

Il lui avait répondu : “Le solipsisme, parole qui dérive des termes latin 'solus', c’est à dire seul, et 'ipse' c’est à dire même, et qui signifie donc 'seulement soi-même ' et est en substance l’idée métaphysique que tout ce qu’existe soit créé par la conscience de la personne et que ce n’est pas objectif. Par exemple, si la thèse du solipsisme est vraie, je m’y trouverais, seulement, dans les pensées de quelqu’un qui maintenant est en train de m’écouter, je ne serais pas un Valerio Faro effectif ; et naturellement, pour moi, vous saurez les produits de mon esprit, vous ne serez pas objectifs, seulement moi j’existerais réellement et, pour ainsi dire, vous êtes créé dans mon intériorité. Un fait qui est impossible à démontrer pour savoir si le solipsisme est vrai ou faux, ou plutôt de démontrer que la réalité du monde est vraie ou fausse, car aussi l’expérience et son soi-disant résultat pourrait être les pures créations de moi : c’est seulement l’acte de confiance qui fait retenir d’être une partie d’un monde objectif et, donc, qu’on peut le connaitre grâce à l’expérience”.

Il s’est ensuite inséré le pragmatique Jan Kubrich: “Cependant, cher Valerio, solipsisme à part, pour moi l’essentiel est que ce moi qui est en train de parler vient enfin de se retrouver dans la société qu’il a laissé; et ensuite s’il existe de nombreux moi dans d’autres cosmos parallèles, des ego que de toute façon je ne connaitrais jamais, pour moi il pourrait m’importer peu au finale ”.

Anna lui a dit : “à moi au contraire cela m’importe beaucoup de le savoir, même si je le pense impossible dans cette vie : au pire dans l’au-delà ; et puis, tu le sais, Jan? Il se pose un problème théologique essentiel… »

“…Non, la théologie non : par pitié !” L’avait interrompu en souriant, avec un faux effarement, l’anthropologue qui, malgré la situation hautement émotive dans lequel, comme tous, il se trouvait, paraissait encore avoir envie de blaguer, comme de l’autre côté Anna qui avait encore le désir, malgré tout, de raisonner de théologie ; à cause de la tension peut-être, pour son soulagement.

“Mumm… ”, avait émis Anna qui n’avait compris l’intention enjouée de lui, “Je te pensais intéressant, Jan”.

“Excuse-moi”, l’avait rassuré Kubrich, “J’ai seulement blagué: cela dépend seulement de moi, dit le, que j’écoute volontiers ”.

En pensant que la divagation pouvait être utile à apaiser l’anxiété de tous, le commandant avait toléré : “…mais oui, Anna, écoutons”.

“Ben, j’allais dire avant que, en accueillant pour vrai la conjecture, qui pour moi est atroce, des réels multi-univers, la même personne a ensemble des mérites et des démérites morales différents, selon le cosmos auquel chacun a son ego, plus ou moins bon ou méchant, en conséquence de chacune des décisions plus ou moins altruistes ou bien plus ou moins égoïstes ; ainsi, à l’extrême, le même sujet, supposons Francesco d’Assisi, qui dans une dimension spatio-temporelle a été honnête

Jusqu’à obtenir la sainteté– horizon transcendant : le salut éternel– mais qu’il a été absolument déshonnête dans un cosmos posté à l’autre extrême, et donc pour destination la mort éternel sans résurrection en Dieu, en autres paroles la damnation infernale

”.

“Oui, Anna”, avait regagné la parole Valerio, “mais à part le discours sur le paradis et sur l’enfer qui intéresse seulement nous croyants, l’idée des pluri-univers est quand même terrible: dans le cas des multi-univers réels, le moi est, en paraphrasant Pirandello, même si ici objectivement et non dans les jugements subjectifs du prochain, un et cent mille, ou des milliards nous pourrons dire, et est, au fond, personne

car si tout le possible existe, si la personne est milliards et milliards d’individus dans d’autres univers et non une seule, elle n’est pas un moi, et donc sonne absurde et même anti humanistique: L’homme vous apparait comme égal à zéro. Pour moi cela est inacceptable : je crois fermement, comme Einstein, que Dieu ne joue pas aux dés et je crois fermement dans l’unique univers.”.

“Moi aussi, certainement”, s’est unie Anna.

Le commandant : “Donc, maintenant il s’agit d’agir dans le passé pour changer cela, espéré, un unique cosmo et le reporté à la condition antérieure à la transition du temps”.

Les mémoires des calculateurs de bord de la navette s’étaient interrogés.

Les élaborateurs ont répondus qu’au moment du saut chrono-spatiale vers le système Alfa Centaure jusqu’à ici, comme nous le savons, ils ont enregistrés des données de chaque sorte en les prenant à partir des calculateurs publiques de la Terre, dans lequel, comme nous savons, l’unique chrono-astronef qui résultait de n’être pas encore retourné du passé était le numéro 9 qu’avait porté l’Italie dans l’année 1933 une expédition directe du philosophe et historien professeur Arturo Monti de l’Université La Sapienza de Rome. En étant interrompue les communications de la 22 avec la Terre après le saut temporel, on ne pouvait plus avoir d’informations.

On s’est ensuite intéressé à connaitre l’histoire de l’Alter Terra à partir de 1933 jusqu’au présent, que la transition temporelle a été imaginé être arrivée dans cette lointaine année du XX ère siècle en étant donné que la navette 9 s’était dirigée dans le mois de juin 1933. Il s’était réservés ensuite de s’informer, tout de suite après, aussi sur les événements historiques d’après, et aussi sur les événements historiques de l’Alter Terra antérieurs à cette période ; si en effet l’histoire précédente été identique à celle de la Terre que Valerio et les autres connaissaient bien, serait apparu plausible s’il existait un seul monde et que, simplement, l’histoire fut changée par la transition du temps ensuite, en devenant l’Alter Soria. En réalité on ne pouvait pas avoir la certitude, en effet la possibilité de deux univers très proche n’était pas exclu auquel l’histoire, jusqu’à un certain point, fut identique pour ensuite se différencier en histoire et ne voulait pas que cela soit vrai et tel désir donnait la priorité sur une autre hypothèse : même dans le profond de Jan Kubrich.

Valerio Faro sur notre Terre était accrédité à l’Archive historique central et en avait l’accès direct ; il espérait donc que ce fut ainsi aussi sur l’Alter Terra, et il avait même promit avec soit même, même s’il n’avait pas pu éviter de se demander, pendant tentait à en avoir l’accès: ...et si en ce monde nazisme je ne fus même pas né ? Ou si ici je ne fus pas un historien mais … un marin, ou un avocat, ou… qui sait qui ? En plus il sentait, et étant un homme libre et démocratique convaincu en avait le dégout, que dans le cas espéré d’être admis aux données réservés de l’archive électronique, il aura été, sur l’Alter Terra, un serviteur du nazisme, autrement il n’aurait pas pu avoir accès ; il s’était toutefois demandé : Moi ou mon alter ego ? Sur cette pensée, il avait exprimé avec un battement de cœur son mot de passé : il a eu l’accès sans problèmes. Il avait déglutit instinctivement pour le soulage quelconque des deux cas qui fut vrai, encore : ‘Nazisme moi ou un Alter Valerio ?’.

Il avait parlé sans intermédiaires, comme l’était son droit, avec le grand cerveau central. Comme il s’attendait, les programmes de l’archive étaient aussi en langue allemande et non en anglais universel qui, quand ils étaient partis, il était parlé et écrit partout des enseignes commerciales jusqu’aux étiquettes de fabrique cousues à l’intérieur de la lingerie intime ; maintenant, seulement la chrono-astronef 22 et ses disques volants avaient les écritures de service en anglais, pertinences du monde de départ comme l’était Valerio et les autres embarqués sur le vaisseau.

La première demande du professeur avait regard la géographie politique de l’Alter Terra. La réponse a été celle que tout le globe était nazisme, non seulement l’Europe, et était organisé dans l’Empire Mondial de la Grande Allemagne qui comprenait les protectorat guidés par un gouverneur allemand, tout comme les États-Unis d’Amérique, la Russie, la Suisse et la majorité des états afro-asiatiques en commençant par ceux ex-islamiques, comme celui de l’Italie dirigé par un roi de nom de Paolo Adolf II: les monarchies locales devaient ajouter Adolf au propre nom. Quant à l’Empire mondiale, le statut nazisme prévoyait que pour monter au seuil impérial, à la mort ou au retournement violent du précédent empereur– cela s’est passé une seule fois en 2069–, le successeur devait être élu par les SS, un peu comme il a été pour les Césars dans une certaine période de la Rome impériale; en plus on stabilisait que le nouveau élu devait absolument laisser ses propres noms et prénoms et devenant ainsi Adolf Hitler. Un Adolf Hitler V était maintenant sur le trone, rien de moins que le Kaiser de l’ Univers; l'Empire par contre, de fait, comprenait seulement peu de mondes autre à la Terre, la Lune, ou il y avait une base scientifique, les planètes du système solaire, dont seulement Mars, depuis qu’ils ont changés artificiellement le climat, était habitée par peu de colonies, et enfin quelques mondes des autres étoiles sur lesquels, pour le moment, se trouvait seulement des missions d’études, et dont résultait l’expédition de la navette 22 vu que le chrono-aéronef était à peine rentré en orbite terrestre. Les allemands étaient arrivés à un grand pouvoir grace, initialement, à un cambriolage technologique des parties du disque précipité et récupéré par les italiens à la SIAI Marchetti de Vergiate: naturellement l’Archive en parlait, d'une brillante opération militaire faite par les glorieux idéalistes germaniques. Il résultait en plus que à révéler aux allemands l’existence et la localisation du disque a été une certaine Claretta que Mussolini, non protecteur comme toujours de la morale familiale, tenait comme son amante fixe, femme de trente années plus jeune de lui. Depuis février 1933 elle avait accepté un engagement dans les services secrets nazismes, pour deux mille lires par mois qui, en ces temps, étaient une somme importante. La taupe ne s’était pas rendu compte des problèmes qui auraient pu venir à l’Italie de ses rapports aux allemands des informations recueillies entre les draps du Grand Chef. L’archive disait que les italiens ingénieux avaient cru, pour beaucoup d’années, que ce fut les anglais, retenus les constructeurs du disque, à avoir fait le cambriolage et que, d'ailleurs, et de l’efficiente secrète Allemagne, non seulement quant à l’opération Patriote, comme était définie conventionnellement, mais aussi sur les successives activités d’études, auquel la direction a été confiée personellement par Hitler aux ingénieurs Hermann Oberth et Andreas Epp: les travaux avaient demandés de nombreuses années, les bombes disgrégatrices et les disques volants allemands ont été mis à point seulement au début de 1939, après différentes tentatives, grâce parodaxolement à Mussolini avec l’approchement maintenant très proche entre l’Italie et l’Allemagne, meme avant l’accord entre les deux pays avec le Pacte d’acier militaire signé le 22 mai 1939: le chef italien, maintenant touché psychologiquement par la force économique et bellique démontrée par le Troisième Reich, avait fourni à Hitler un dossier sur le disque capturé par l’Italie et sur les signalations des autres objets volants non conventionnels et, à la précise demande, il avait meme accordé à des physiciens et ingénieurs allemands de participer au projet du Cabinet RS/33 sur ce qu’il restait du disque, qui a été depuis transporté dans la nouvelle base de Guidonia. Et c’était justement le partage d’informations qui a été concédé par un faible et concerté Mussolini à déterminer le plein succès de l’opération de rétro-Ingegneri des allemands: l’Allemagne avait réalisé trente et un disques fonctionnants, dotés chacun de quatre missiles avec es bombes disgrégatrices; ils ont été construits et assemblés dans une base à une dizaine de kilomètres de Bremerhaven, située e de la Mer du Nord dans le Land de Bregma; les bombes ont été fabriquées et essayées dans la localité de Peenemünde, sur l’ile de Usedom devant le littoral baltique du Reich, évaquée précédemment par la population résidente civile peu nombreuse, ainsi comme, pour beaucoup de kilomètres en extension et en profondité, le littoral a été vidé. Au moment de la mise au point des disques, des missiles et des bombes, il a été nécessaire encore un peu de mois pour les nazistes pour l’entrainement des aviateurs au pilotage des disques en atmosphère et en vol suborbitale, sous la guide de l’axe de l’aéronautique nazisme Rudolph Schriever, ainsi qu’à l’utilisation des missiles, lancés durant les entrainements sans les bombes, remplacées par un explosif conventionnel. Au début de juillet 1939 l’Allemagne était entrée en guerre sans préavis et, à différence de ce que narrait l’Histoire traditionnelle, dans l'Alter Histoire elle avait gagné et presque immédiatement: plutôt par les légender Scheibel – les disques volants – en vol subi orbitale, en mouvement par l’anti-gravité, ils ont été lançés au-dessus de différentes villes de la Grande Bretagne, de la France, de l’Union soviétique et des États-Unis de l’Amérique des missiles armés avec des bombes disgrégatrices, identiques à celles que disposaient les navettes de débarquement des chrono-aéronefs. Comme avait imaginé Valerio Faro et ceux qui, derrière à ses épaules, assisteraient à la recherche, le fait que les disques avaient parcouru seulement des sub orbites était du à leurs imperfections, pour le moment, par rapport au prototype venu du futur.

L'Alter Histoire était poursuivi dans une manière glaciale, dans la perte de chaque valeur spirituelle et dans le triomphe de l’absolu athéisme. La personnalité réduite à un rien. Bien sûr, l’Archive Historique Centrale exaltait ces choses comme une conquête très précieuse de l’humanité, confuse avec le pseudo race arienne alors que des surhumains considéraient tous les êtres humains. Après la guerre éclair de 1939, d’ultérieurs progrès ont été faits sur les disques volants, jusqu’à rejoindre le vol orbitale et donc à la lumière spatiale: l’Allemagne déjà en 1943 avait fait venir sur la Lune quatre hommes de la Luftwaffe, retournés sur l’Alter Terra sains et saufs, et en 1998 6 aviateurs nazismes, dont cinq allemands et un autrichien, avec un disque beaucoup plus grand des précédents, projeté et réalisé exprès, ils ont embarqués pour la première fois sur Mars et sont retournés. La vraie colonisation de la planète rouge a été faite, comme aussi dans le mon de de Valerio et de Margherita, seul avec la création des chrono-astronefs, projetées sur Alter Terra en 2098, cette fois un produit entièrement de l’ingénierie nazisme, ainsi comme sur la Terre l’a déjà été l’ingénierie des États Confédérés d’Europe peu d’années avant: le voyage expérimental dans l’espace-temps des astronautes nazismes a été faite en 2105, dirigé au proche système double Alfa Centaure A et B, sans descentes sur les planètes: comme avait été pour la Terre, qui avait conquis l’espace profond en 2107, avec un voyage de circumnavigazione de l’étoile Proxima Centauri, à 4,22 années lumières de distance de notre Soleil, et avec un retour immédiat. Il ne résultait pas par contre dans l’Archive que les nazis de l’Alter Terra avait fait des voyages dans le temps : peut-être en ayant peur de changer l’Histoire à leur dommage ? Donc, il n’a même pas eu une expédition en 1933, comme avait raisonné Margherita, le disque capturé par les italiens et volé par les allemands venait du futur de la Terre et non de l’Alter Terre. Valerio avait interrogé l’Archive aussi sur le temps précédent les années 30 du XX siècle : à partir du débutde la civilisation jusqu’à juin 1933 l'Alter Histoire restait identique à l’Histoire.

À peine avait terminé la phrase quand les ordinateurs de bord avaient mis en alarme rouge le cigare : ils avaient relevé un disque, sûrement ami, de ceux-là en dotation au navire 22, se rapprocher de la meilleure vitesse et, derrière de lui, en montée à une dizaine de kilomètres à l'en bas, autres deux disques n'identifiés pas. Tout de suite les ordinateurs avaient averti après un jet de fusées des second contre le premier, pendant que le pilote je gagne l'amitié il demandait au cigare avec excitation 22 d absolue. Il avait été fait. La manœuvre suivante de la navette avait été téméraire, avec le risque de s'écraser contre le chrono-astronef et de l'endommager ou moins bien ; le disque était pour entrer, le portillon derrière la navette était à peine fermé, le commandant il avait ordonné aux ordinateurs un bond immédiat vers le passé et le vaisseau 22 ère disparue juste à temps pour ne pas être frappé par les fusées. En base à la normative de sûreté, le Cronos alto aurait dû arriver loin de la planète cos, par contre, l’énergie dégagée avait anéanti maintenant missiles très voisins des disques poursuivants.

Chapitre 5

A minuit et demie du 18 Juin 1933, même cinq jours après son admission, dans une usine de Singularity hangar Institut Marchetti Vergiate, capturé le dossier, de nombreux chiffres sont à peine visibles aux yeux d'un chat, couvert de costumes noirs, étaient il est tombé en silence sur le sol autour des installations, suspendus à des parachutes aussi noirs. Pour les moteurs d'avions, de la Bavière, les avait mis sur le site ne sont pas facilement audible à partir du sol, les parachutistes qu'ils avaient lancés à partir d’une hauteur de quatre mètres, parapluies ouverture après une chute libre de trois mille sept cents. Malgré l'obscurité, personne n'a été blessé.

Ben connaissait les tours de service de la garde italienne parce qu'un espion leur avait testé dans les jours avant et rapporté à leurs supérieurs à Berlin. Ils savaient que, à 0 heures du 18 Juin ont effectué le changement de la garde et la poignée de la milice enlevée avait quitté l'endroit pour retourner à la caserne.

Après avoir rejoint la société, composée d’une soixantaine d’hommes commandés par le capitaine Otto Skorzeny et quelques ingénieurs Genius sapeurs, se tut pénétrée, à l'étape militaire du fantôme dans la salle usine de concierge, fermant immédiatement la bouche et la gorge de coupe deux pauvres gardien, mari et femme. Ainsi, cinquante des raiders soixante, tous armés de fusils automatiques de fabrication américaine Thompson achetés par des intermédiaires, par des émissaires du IIIe Reich, avait attaqué la pièce à main de la milice et les deux maréchaux Ovra à ce moment le disque de garde et, grâce à la surprise et de l’armement moderne, avait tué tout le monde. Seulement huit des attaquants allemands ont été tués et quatre autres ont été blessés sous les coups de vieux mousquets '91 modèle inclus les Italiens. En même temps, les dix paras qui avaient été laissés derrière avaient allumé des feux le long de la piste d'atterrissage qui longeait l'usine, de sorte que le même avion dont ils avaient lancé les raiders pourrait atterrir. Les autres, après avoir pris des photos et filmer en, interne et externe, le disque est encore intact, ils avaient ramassé les pièces détachées, les premiers missiles avec leurs bombes et radios cinématographique. Tout le département avait alors chargé le butin sur des avions, de sorte que la même chose avait été fait avec les morts et les blessés de la société. Enfin, les raiders d’Hitler avaient décollé sans être dérangé.

Sur le personnel civil qui était arrivé à l'usine à 6 heures pour commencer son quart de travail, il avait présenté le spectacle de boucher de deux gardes tués et, plus tard, le carnage des miliciens.

À Rome, il ne soupçonnait pas la vérité, en partie à cause du mépris que Mussolini hébergeait à l'époque pour l’Allemagne ; Mussolini avait sans doute pensé à un coup d’État pour ceux qui croyaient tous les propriétaires légitimes du disque : Anglais.


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