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INTRODUCTION A LA CONNAISSANCE DE NOSTRADAMUS
INTRODUCTION A LA CONNAISSANCE DE NOSTRADAMUS
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INTRODUCTION A LA CONNAISSANCE DE NOSTRADAMUS

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Prеs de deux fleuues pour seur il auiendra,

Sol, l'Arq, & Ca per tous seront amortis.

Voici "bile percеe" – " per + ce + ra fi + el " numеro un, suivi du second :

4-90 Les deux copies aux murs ne pourraient ioindre

Dans cest instant trembler Milan, Tessin :

Faim, soif, doutean ce si fort les viendra poindre,

Chair, pain, ne viures n'auront vn seul boncin.

4-91 Au duc Gaulois contrainct battre au duelle ,

La nef Mellele monech n'aproche ra ,

Tort accuse', prison per petu el le,

Son fi lz regner auant mort taschera.

Eh bien, l'amour promis de la m?re – " simple " pour son fils, le prince dеtestе, qui, semble-t-il, se prеpare dеj? ? de nouveaux duels – " due + lles ". Le mot "ay + me" aussi prеsent .

4-7 Le mineur filz du grand & hay prince ,

De lepre aura a vingt ans grande tache:

De due il sa mere mourra bien triste & hachе,

Et il mourra la ou tombe chet lache.

4-8 La grande citе d'assaut prompt & repentin,

Surprins de nuict, gardes interrompus:

Les excubies & vei lles saints Quintin…

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Et encore de vieux disques.

Dans le sujet suivant, je passerai au deuxi?me cycle des Prophеties, un tel besoin s'est fait sentir.

3-39 Les sept en trois moys en concorde,

Pour subiuguer des alpes Apennins :

Mais la tempeste & Ligure couarde,

Les profligents en subites ruynes.

Sept en trois mois d'accord,

Pour subjuguer les Alpes Apennines :

Mais la temp?te et la l?chetе de Ligur,

Ils seront brisеs en ruines soudaines.

Ce quatrain dans les еditions de 1555 au lieu de « moys » – « mois », contient « mis » – « placе, mis ».

La combinaison des mots "sept" et "mois" dans un quatrain des sept premiers si?cles peut ?tre vue trois fois, comme indiquе dans la premi?re ligne : en 4-95, 4-100 et 5-81.

Voil?, l'accord de ces deux mots. Plus tard, Nostradamus a, semble-t-il, voulu poursuivre cette expеrience, et il multiplie brusquement les rencontres de « sept » et de « mois », changeant habilement sa promesse passеe. je dessine attention , Centurie nombre huit :

8-93 Sept moys sans plus obtiendra prеlature

Par son deces grand scisme fera naistre :

Sept moys tiendraient vn autre la preture

Pres de Venise paix vnion renaistre.

"Seven Months" n'atteindra plus la prеlature

A cause de sa disparition, un grand schisme na?tra :

"Sept mois" un autre dеtiendra le pouvoir

Pr?s de Venise rena?tra le monde uni.

Et c'est immеdiatement dans le quatrain suivant :

8-94 Deuant le lac ou plus cher fut gette'

De sept mois , & son host desconfit…

Les quatrains sont comme vivants, ils respirent, et il faut essayer de reprendre ce souffle.

…Oui! Puis ?a m'est arrivе ! J'ai appris ? sentir ce souffle de l'Auteur. Et ce processus d'apprentissage dure depuis tr?s longtemps… Non, ce n'est pas vrai, il continue jusqu'? cette heure.

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K atren 3-46 est ouvertement prеdictif et tr?s attractif. De plus, je pense que c'est mal expliquе, dеformant le vrai sens, m?me superficiellement visible, еvident. Ceci , sur mon vue , sujet profond repenser .

3-46 Le ciel (de Plancus la cite') nous presaige,

Par clers insignes & par estoilles fixes:

Que de son change subit s'approche l'aage,

Ne pour son bien,ne pour ses malеfices.

Ciel (ville de Plancus) nous prеdisons

Par des signes clairs et par des еtoiles fixes :

Qui par son brusque changement rapprochera son ?ge,

Ni bien ni mal pour lui.

Pour une raison quelconque, Plancus est associе au fondateur de la ville de Lyon, Lucius Munacius Plancus, bien que ce mot ait un autre sens beaucoup plus appropriе dans ce cas.

"Plancus", "Plangus", sorte d'aigle : PLIN. 10.7., (dans Gaffoit Felix (1934) Dictionnaire Illustre' Latin – Francais, Hachette). Autrement dit, Plancus est une sous-esp?ce de la famille des aigles.

"Le ciel est la ville d'un aigle – nous prеdisons…" – c'est le vrai sens de la premi?re ligne. Ainsi, l'auteur a ajoutе un autre «paradis» ? son livre, soit dit en passant, le 32e d'affilеe, dеclarant ouvertement qu'? partir de l?, il a soudainement rapprochе ses annеes – rangs, dont, ? la suite des rеsultats de sept si?cles, il y aura 42.

Eh bien, o? est ce ciel, concrеtisе comme la ville de Plankus ? Ci-dessous le mien d'aujourd'hui vision : "PLANCVS".

2-79 … Le grand C HYRE N ostera du longin,

Tous les captifs par Seline baniere.

2-80 A pres conflict du lese' l'eloquence,

Par peu de temps se tramme faint repos: Point l'on n'admet les grands a` deliurance,

Des ennemis sont remis a` propos.

2-81 Par feu du ciel la cite' presque aduste,

L' vrne menasse encor Ceucalion,

V exee S ardaigne par la Punique Fuste…

L'auteur affirme qu'il a prеdit le "ciel" ? travers des signes clairs et des еtoiles … Il n'a pas menti, tout est ainsi. Les mots " in + signe " et " cl + air " accompagnеs du ciel – " ciel " :

1-54 …Le mobil signe a son endroict si in gere,

Aux deux egaux & d'inclination.

1-55 Soubz l'opposе cl imat Babylonique,

Grande ser a de sang effusion:

Que terre & mer, air , ciel sera inique…

Et ci-dessous se trouve la connexion du "ciel" avec "l'еtoile" – " estoile ":

2-43 Durant l' estoile chevelue apparente,

Les trois grans princes seront faits ennemis :

Frappes du ciel , paix terre tremulente…

Dans le quatrain 7-36 – le dernier ciel du premier cycle des "Prophеties". C'est l'?ge – " aage " – " ciel " :

7-35 D' auoir _ esleu , trompe seront fr l' ?ge :

_ Guy?re auec eux ne vouldra dеmeuriste ,

Dеceu sеrums par ceulx de fils langue .

-36 Dieu le ciel tout le diuin verbe a` l'vnde…

Et tout ce qui arrive n'est « pas bon » – « bien » :

1-46 … Grand feu du ciel en trois nuictz tumbera:

Cause aduiendra bien stupende & mirande,

Bien peu apr?s la terre tremblera.

" ni Pour trouble " – "malfaisance":

1-22 La gresle & glace fera grand malеfice .

1-23 Au mois troisiesme se leuant le Soleil,

Sanglier, Liepard, au champ Mars pour combattre:

Liepard laisse, au ciel extend son oeil,

Vn Aigle autour du Soleil voit s'esbatre.

Dans le dernier quatrain donnе ici – le premier cas du ciel centurien. Il contient еgalement un "aigle" – " Aigle ", c'est la deuxi?me rеponse ? la question: "pourquoi le ciel est-il la ville de Plankus?"

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Il est temps de revenir ? mes entrеes prеcеdentes. J'aimais alors les quatrains avec des chiffres.

Dans le quatrain 3-48, l'Auteur dеfinit deux t?ches ? la fois.

3-48 Sept cens captifz estaches rudiment,

Pour la moitie meurtrir, donne' le sort: Le proche espoir viendra si promptement, Mais non si tost qu'vne quinziesme mort.

Sept cents prisonniers, ligotеs grossi?rement,