Galilei Et Einstein

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L’observateur interne (Albert), plutôt, tandis sachant de l’existence d’un monde externe, refuse de le regarder.

Je report le Principe de Galilée Galilei sur la chute libre des corps: «toutes les corps sont soumis à la même accélération de gravité».

Je souligne: «toutes les corps sont soumis à la même accélération de gravité».

Galileo, comment tous, chose étrange, sauf Einstein, savait toutefois que l’accélération de gravité n’est pas constante mais varié dans chaque lieu sur la terre (avec la latitude, avec la longitude et la hauteur) et avec le passer du temps.

Pour des raisons de commodité, en fonction du domaine d’étude, la valeur approximative de 9,8 est attribuée à un compte.

Que pour faciliter l'apprentissage de la chute libre au mouvement naturellement accéléré se rapproche (g = 9,8 m / sec2, s = 1 / 2gt2 ...) le long de la verticale, alors qu'il est bien connu qu'un tel mouvement , même si on veut la considérer, de façon approximative, toujours rectiligne, elle est variée car l’accélération de la gravité est fonction de l’inverse du carré de la hauteur variable de chute lors du mouvement, c’est un compte complètement différent.

Mes réflexions sur la théorie de la relativité générale seront faites deux fois:

a) le premier indépendamment de la validité du Principe de Galilée Galilei sur la chute libre des corps (voir cinquième partie), donc pour autre motivation; le deuxième juste parce – que le Principe de Galilée Galilei sur la chute libre des corps je pense que peut être affecté pour une erreur, résultant de la loi de la gravitation universel d’Isaac Newton, que, spécialement, pour Albert il aurait fallu trouver l'application correcte de sa théorie de la relativité générale (voir septième partie).

Malheureusement, au lieu de procéder de manière rigoureuse, Albert transforme les modèles approchés en postulats de la nature, construisant sa théorie de la relativité générale et surmontant ensuite la physique classique.

Chapitre III

Observations élémentaires

Mes Reflexions:

L’eau de la rivière n’est jamais la même.

L’air que nous respirons n’est jamais le même.

Tout devient . . . Panta rei.

L’essence de la nature–univers est impénétrable.

L'impénétrable n'est pas mesurable.

La connaissance de la nature-univers (sa description) est toujours une continue approximation.

Pour ce qu'il est donné de savoir, tous le components de l’univers (satellites, planètes, météores, soleil; étoiles; amas de galaxies) ils sont en mouvement, vraiment, car ils sont en orbite, ils sont donc dans différents mouvements.

Tel composants, ensemble à chaque type de construction que l’homme réalise, sont sujets à actions (force).

Il en résulte que le silence et le mouvement rectiligne uniforme, ainsi que le mouvement rectiligne uniformément accéléré, compris comme des concepts absolus, n'existent pas dans la nature.

Aussi le flux du temps n’est pas uniforme.

L’espace (en trois dimensions) est le temps (une dimension), même si conçu dans un sens absolu, selon le bon sens, ils ne doivent pas être perçus comme deux entités distinctes, mais comme une seule entité espace – temps à quatre dimensions (3 + 1).

L’espace – temps, en base a la connaissance qu’aujourd’hui avons, n’est pas Euclidien.

L’espace euclidien est une description approximative consciente de l'espace-temps.

Fait ces observations élémentaires, je réfléchis sur la physique classique, avec particulaire référence a les trois principes de la dynamique, à la loi d’attraction gravitationnelle universelle et à la chute libre des corps avec le conséquent principe de Galilée Galilei.

Chapitre IV

Principes de la Physique classique

Les trois principes de la dynamique :

a) un corps maintient (persévère) le propre statut de calme ou mouvement rectiligne uniforme, jusqu'à ce qu'une force agisse dessus, en train de modifier cet état d'immobilité ou de mouvement rectiligne uniforme;

b) si a un corps de masse m

(masse inertiel) appliquons une force F le corps acquiert une accélération qui est:

c)

d) à chaque force correspond une réaction égale et contraire.

La loi d’attraction gravitationnelle universelle:

G = constante de gravitation universelle;

m

; m

= masse gravitationnelle des corps;

d = distance entre les corps;

= (force d’attraction gravitationnelle).

Le Principe de Galilée Galilei sur la chute libre des corps: «Tous les corps, sur la Terre, indépendamment de la friction de l'air, sont sujets à la même accélération de gravité». Masse inertiel et masse gravitationnelle sont proportionnelle unes aux autres; en base à l’unité de mesure choisie, prennent la même valeur : m

= m

.

J'invite le lecteur à procéder personnellement aux calculs pertinents; et après, a les confronter avec quelles de quelque texte de physique ou avec quelles des pages d’Internet.

Nous connaissons les hypothèses de calcul pour la Terre: sphéricité; densité constante; influence de la gravité due aux autres corps célestes hors de la terre (lune, météores, soleil, étoiles et galaxies).

Nous devons ignorer uniquement la présence d'air.

Pour faciliter la lecture, j’indique les calculs généralement effectués, fondés sur lesquels le principe de Galilée serait vérifié, sans distinction entre masse inertielle et masse gravitationnelle, car elles sont égales (mi = mg).

L’égalité entre la masse inertielle et la masse gravitationnelle (mi = mg) en définitive, découle de l’expérience du physicien Loránd Eötvös, à partir de laquelle a été obtenue et améliorée une précision de 5x10-9 par la suite de 3x10-14.

G = constante de gravitation universelle;

M

= masse de la terre;

r = rayon de la terre;

h = hauteur d'essai à partir de la surface de la terre;

m

= test de masse énième (gravitationnel et inertiel);

= (force d’attraction gravitationnelle);

= constante (accélération gravitationnelle).l'accélération gravitationnelle (chi) est identique pour toutes les masses d'essai, mais varie avec la variation de “h”.

Le principe Galileo est vérifié.

Mais ces calculs ne sont pas les miens.

Moi, mes calculs, je les exécuterai dans la sixième partie, dans le corps d’un possible "physique ordinaire".

Chapitre V

Premier réflexions sur la théorie de la relativité général

Tel premier réflexion je vais la faire sans penser dans le principe de Galilée sur la chute libre des corps.

La deuxième réflexion, plutôt, en référence, juste au principe de Galilée sur la chute libre des corps, je vais la faire dans la septième partie.

Comment tout nous savons, dans la Physique classique le mouvement uniforme absolu n’existe pas.

Albert lui-même répète, voir p. 221 de son livre susmentionné: Je ne comprends pas pourquoi il l'oublie lorsqu'il fait ses expériences mentales.

Je l'accompagne également dans ses expériences mentales.

Cette fois, je ne ferai pas qu'écouter ses conclusions.

Avant de partir, tout d’abord, j’ai fait suivre des études spécifiques pour connaitre plus en détail l’attraction gravitationnelle de la terre, à travers d’un réseau de surveillance positionné sur la surface terrestre, à différentes hauteurs, ainsi qu'à différents moments.

Ceci est à souligner le fait que nous sommes en présence d'un espace-temps en quatre dimensions (latitude, longitude, hauteur et temps).

Les études, comment déjà qualitativement bien est savait, ont confirmé que l’accélération de gravité (juste à cause de l’imparfaite sphéricité de la surface terrestre; d'inhomogénéité de la densité de la masse terrestre; des mouvements de la terre; de l’influence sur le camp gravitationnel terrestre des corps célestes components du système solaire, en particulaire soleil e lune, déjà au niveau macroscopique en relation aux marées, a la chute des météorites), n’est pas constante mais varie avec les coordonnées spatiales et le temps.

Les études ont également donné des résultats sur le principe de Galilée sur la chute libre des corps, ma di c’est, comment déjà dit, parlerai successivement dans la septième partie.

De plus, je demande que tout le matériel scientifique nécessaire soit mis en place, afin de vérifier expérimentalement chaque phénomène à l'étude.

Commençons!

Ça ne dépend pas de moi illustrer la théorie de la relativité générale avec les hypothèses sur lesquelles il est basé.

Avant de procéder, le lecteur pourra procéder à toute analyse approfondie qu’il jugera utile.